Meaux ► [Vidéo] Ancien journaliste sportif, Pascal Pioppi a publié son livre Campionissimeaux : portrait de l’auteur

Pascal Pioppi, ancien journaliste sportif qui a exercé au journal La Marne pendant vingt-sept ans, fait la tournée des dédicaces pour son livre Campionissimeaux. L’auteur et ami s’est livré sur son histoire, mercredi 24 avril.

Campionissimeaux, « c’est un livre dans lequel on peut picorer » comme dit Pascal. L’ancien journaliste sportif de La Marne, recruté par le directeur maintenant décédé, Jacques Rousseaux (mon père) , a publié son livre Campionissimeaux.

On a gardé quelques vieilles habitudes puisqu’il collabore magnifiquement au contenu de Magjournal avec sa rubrique littéraire hebdomadaire.

Le livre recèle des notes touchantes, des mini-portraits de gens qu’on a forcément connus à Meaux ou dans sa région, certains y ont vécu.

Dans l’entretien avec Magjournal, « entre deux amis de longue date », Pascal se livre et raconte facilement à quel point il était « nul à l’école ».

La bienveillance émane de lui, et son humour ne manque jamais de faire sourire, lui le fils d’immigré italien, de parents qui l’ont enveloppé d’un amour inconditionnel, même avec son père, Amos, joueur de foot, « ça filait doux ». Sa mère lui apportait douceur et petits plats.

Son livre est la découverte ou la redécouverte de personnages qui ont tracé l’histoire de Meaux et de son pays.

« Je ne mets personne au-dessus ni en-dessous. J’ai voulu que tout le monde soit au même niveau, politiques, présidents d’association, présidents tout court, photographes, sportifs… C’est un tissu réel fait de gens et de liens. »

Avec son humilité, Pascal reconnaît qu’il ne pensait pas que son livre aurait tant de succès : « Finalement quand on y pense, tout le monde y trouve son compte, les gens qui sont dedans et se voient mais aussi les lecteurs qui retrouvent des morceaux de leur histoire… c’est parti pour un an de séances de dédicace et de conférences. » 

Son livre, Pascal l’a écrit sans contraintes, puisque les contraintes, il ne les a jamais supportées, et on l’aime comme ça.

Avec toute mon amitié.