« Pour qui travaillent les journalistes »
Une vingtaine de lauréats du prix Albert-Londres se penchent sur la question cruciale que se pose une multitude de personnes qui ont un cerveau entre leurs oreilles. On y parle de richesse et d’intérêt du métier qui, certes changera au fil du temps mais qui parle aussi d’information dans les temps incertains. C’est direct, franc en suivant des routes qui ne mènent pas toujours à la bonne foi.
Collectif, 160 pages, 17,90 euros, paru le 20 octobre, Editions de l’Aube.
« L’aiguière brisée » de Jean-Guy Soumy
Dans les années 1800, Anthéa est passionnée de botanique mais les femmes sont cantonnées à certains métiers. Heureusement un vieil ami de son père va lui ouvrir des horizons nouveaux dans l’époque où les femmes peinent à faire reconnaître leur talent. Elle découvre le savoir-faire d’excellence avec celui des maîtres verriers. Un joli roman initiatique avec un beau travail sur le féminisme.
256 pages, 21 euros, paru le 15 septembre, Les Presses de la Cité.
« La Petite bibliothèque Rivages »
La nouvelle collection nous permet de découvrir des auteurs connus avec des titres qui ont marqué leur époque. Une occasion rêvée de se replonger dans des chefs-d’œuvres classiques à moindre prix
Devenir écrivain de Robert Louis Stevenson, 112 pages, 7,50 euros, nouvelle édition.
Sade, Oeuvres choisies par Apollinaire, 480 pages, 11 euros, Editions Rivages
L’art de vieillir, Arthur Schopenhauer, 112 pages, 8 euros, Editions Rivages.