Idées de lecture ► De curieuses histoires… historiques  

 
« La Fille d’Omaha Beach » de Geneviève Senger
Normandie juin 1945, une page de l’histoire de France et du monde se joue sur les plages. Le roman de Geneviève Senger soulève deux destins totalement opposés avec Claude qui a vingt ans a tout perdu où elle est sauvée par un spécialiste du déminage qui est allemand et qui vient la sauver. Les deux êtres que tout semble opposer vont-ils céder à la tentation et se délivrer du mal qui ronge leur vie et leur destin ? Un livre fort.
384 pages, 21 euros, paru le 23 mars, Presses de la Cité.
 
 
« La femme en feu » de Lisa Barr
Un tableau volé par les nazis va faire couler beaucoup de sang et déclencher une lutte sans merci entre une journaliste qui se lance dans la délicate mission de retrouver le fameux tableau « La femme en feu », et Margaux une riche héritière qui a toutes raisons de mettre la main dessus quel qu’en soit le prix. Une course poursuite menée avec un grand… art.
384 pages, 24 euros, paru le 23 mars, Editions l’Archipel.
 
 
 
« Playlist » de Sebastien Fitze
Un message codé suite à la disparition de la jeune Féline, 15 ans, envolée sur le chemin de l’école ? Le détective Alexander Zorbach finit par tomber sur la playlist de la jeune fille avec ses chansons choisies qui ont été étrangement changées juste avant sa disparition. Le secret est-il dans un message musical avec quinze chansons à en découvrir le fil conducteur. Un polar d’une intensité folle finement ciselé par le maître du suspense.  
384 pages, 24 euros, paru le 6 avril, Editions l’Archipel.
 
 
« Vengeresses » de Peggy-Loup Garbal
Marie et Mireille sont jumelles. Autistes et ballottées d’une famille d’accueil à une autre, meurtries par des traitements anormaux. Assoiffées de vengeance les sœurettes passent à l’action pour traquer un à un leurs tortionnaires, véritables furies assoiffées de vengeance. Un récit puissant tourné vers une justice des hommes quel qu’en soit le coût à payer. Fort et endiablé dans un roman qui va crescendo dans la vengeance impitoyable.
126 pages, 16 euros, paru en mars, Editions Philippe Rey.
 
 
« Carlo est sorti tout seul » d’Enzo Gianmaria Napolillo
L’humanité profonde se cajole auprès d’une poésie qui fourmille de douces inventions dans une histoire délicate, tendre à souhait. Carlo a 33 ans est enfermé dans sa bulle sans parler à personne. Un passe-temps mieux une sécurité intérieure avec le fait de tout compter, des gouttes de pluie sur la vitre de la fenêtre, les étoiles…
jJusqu’au jour où la rencontre avec la belle Léda, la nouvelle fille du bar va changer la donne et recoudre les blessures par une délicatesse de mise.
296 pages, 22 euros, paru le 7 avril, Editions de l’Aube.