Les nouveaux locaux de la police municipale de Bailly-Romainvilliers ont été aménagés pour répondre au développement de la commune et à l’accroissement démographique. Le maire, Anne Gbiorczyk, a présenté le nouveau poste, lundi 24 juillet.
La police municipale a déménagé au début du mois de juillet dans des locaux plus adaptés pour répondre au développement de la commune et pour se rapprocher de la population. Désormais les locaux se situent boulevard des Sports, en face du complexe sportif de Lilandry et de la maison des jeunes.
Anne Gbiorczyk déclare : « Nous voulons marquer le fait qu’il s’agit bien d’une police municipale de proximité qui est là pour accompagner, faire de la prévention, du conseil et verbaliser si nécessaire. Elle est à sa juste place et fait partie du quotidien des Romainvillersois. » Ainsi, la Ville proposera, samedi 28 septembre, une journée d’information durant laquelle la population, et en particulier les jeunes, pourront rencontrer les agents afin de « montrer qu’il n’y a pas de rupture entre la police municipale et la jeunesse ».
Il s’agit également de configurer la taille des locaux à celle de population qui passerait de sept mille cinq cent, actuellement, à quatorze mille habitants prévus dans vingt ans. Le maire indique : « Les agents étaient à l’étroit dans le poste de la rue des Genêts qui était, en outre, en dehors du centre-ville. » Les nouveaux locaux ont une surface quatre fois plus grande que les anciens.
Le maire souhaite aussi élargir l’amplitude horaire de la police municipale. Les six policiers et l’agent de sécurité de la voie publique (ASVP) travaillent actuellement de 8 à 18 heures et une soirée par semaine jusqu’à 21 heures ainsi qu’un samedi ou dimanche par mois, de manière aléatoire.
« Il y a une bonne collaboration
entre les deux entités »
Deux véhicules et des vélos sont à la disposition des policiers pour les patrouilles et les interventions. Anne Gbiorczyk précise : « La police municipale fonctionne avec deux brigades de trois agents. Je suis vigilante à ce qu’elle ne se substitue pas à la police nationale. Il y a une bonne collaboration entre les deux entités que ce soit dans la transmission d’images de vidéo-protection ou pour les demandes de renfort. Ce sont deux polices complémentaires. »
Un centre de supervision urbaine a été installé dans les locaux où seront branchés soixante caméras à l’horizon 2026. Trente-quatre sont d’ores et déjà opérationnelles. Les policiers municipaux sont tous équipés d’armes à feu de catégorie B, de bombes lacrymogènes et de bâtons de défense. L’opération Tranquillité Vacances est une des interventions effectuées. Une cinquantaine d’habitations font l’objet de visites par les agents et le dispositif tend à se développer.
Le Département a participé au financement de la construction de l’équipement à hauteur de 110 000 euros et a été sollicité au titre du bouclier sécurité, tout comme la Région.
La police municipale a déménagé depuis le début du mois de juillet dans des locaux plus adaptés pour répondre au développement de la commune et pour se rapprocher de la population puisque qu’ils se situent désormais au boulevard des Sports, en face du complexe sportif de Lilandry et de la maison des Jeunes. Anne Gbiorczyk déclare : « Nous voulons marquer le fait qu’il s’agit bien d’une police municipale de proximité qui est là pour accompagner, faire de la prévention, du conseil et verbaliser si nécessaire. Elle est à sa juste place et fait partie du quotidien des Romainvillersois. » Ainsi, la Ville proposera, samedi 28 septembre, une journée d’information durant laquelle la population, et en particulier les jeunes, pourra rencontrer les agents afin de « montrer qu’il n’y a pas de rupture entre la police municipale et la jeunesse ».
Il s’agit également de configurer la taille des locaux à celle de population qui passerait de sept mille cinq cent, actuellement, à quatorze mille habitants prévus dans vingt ans. Le maire indique : « Les agents étaient à l’étroit dans les locaux de la rue des Genêts qui étaient, en plus, en dehors du centre-ville. » Le nouveau poste a une surface quatre fois plus grande que l’ancien.
Le maire souhaite élargir l’amplitude horaire de la police municipale. Les six policiers et l’agent de sécurité de la voie publique, ASVP, travaillent actuellement de 8 à 18 heures et une soirée par semaine jusqu’à 21 heures ainsi qu’un samedi ou dimanche par mois; aléatoirement.
Deux véhicules et des vélos sont à leur disposition pour les patrouilles et les interventions. Anne Gbiocrzyk précise : « La police municipale fonctionne avec deux brigades de trois agents. Je suis vigilante à ce qu’elle ne se substitue pas à la police nationale. Il y a une bonne collaboration entre les deux entités que ce soit dans la transmission d’images de vidéo-protection ou pour les demandes de renfort. Ce sont deux polices complémentaires. »
Un centre de supervision urbaine a été installé dans les locaux duquel seront branchés soixante caméras à l’horizon 2026, trente-quatre sont actuellement opérationnelles. Les policiers municipaux sont tous équipés d’armes à feu de catégorie B, de bombes lacrymogènes et de bâtons de défense. L’opération Tranquillité Vacances est une des interventions effectuées. Une cinquantaine d’habitations font l’objet de visite par les agents et le dispositif tend à se développer.
Le Département a participé au financement de la construction de l’équipement à hauteur de 110 000 euros et a été sollicité au titre du bouclier sécurité, tout comme la Région.