Chelles ► [Vidéo] Les acteurs seine-et-marnais de la campagne « Yannick Jadot 2022 » se mettent en ordre de marche

Plusieurs membres d’organisations écologistes participant à la campagne « Yannick Jadot 2022 » se sont  réunis à Chelles, vendredi 21 janvier, pour le lancement de la campagne présidentielle.

Europe écologie les Verts, Génération S, Génération écologie et le Mouvement des progressistes unissent leurs forces pour soutenir la campagne de Yannick Jadot en Seine-et-Marne. Tant au niveau national que départemental, les quatre partis écologistes sont unis et travaillent dans le même sens, à savoir la victoire de Yannick Jadot  à la prochaine élection présidentielle.

Hocine Oumari, secrétaire départemental pour la Seine-et-Marne d’Europe écologie les verts, est un des deux référents de la campagne « Yannick Jadot  2022 » dans le département. Avec les dix autres participants à la réunion, il a jeté les bases des actions à venir, avec quelques incertitudes liées à la situation sanitaire pour les réunions.

L’écologie en Seine et Marne

Ils ont également précisé leur position sur quelques points concernant directement les Seine-et-Marnais. Hocine Oumari déclare : « En travaillant sur le climat, on impacte directement la santé des habitants par réduction du CO2 et de la pollution. On agit sur les catastrophes liées au climat, inondations, tempêtes etc… On crée des emplois non délocalisables. » Il propose, par exemple, de limiter la puissance des véhicules de façon à réduire les émissions de CO2.

Frédérique Baron-Renault, de Génération écologie, explique : « Beaucoup de gens ne sont pas sensibles à la biodiversité, ils n’ont pas conscience qu’on en dépend, que notre alimentation et notre santé en dépendent. À mon avis, le truc qui peut les faire frémir, c’est de comprendre que les enfants mangeront mieux dans les cantines. »

En ce qui concerne l’afflux de population dans le nord-ouest de la Seine-et-Marne, et donc le besoin de constructions, Hocine Oumari préconise : « Il faut arrêter de bouffer les terres agricoles. On doit créer des logements en densifiant les zones déjà urbanisées, là où il y a des mobilités pour éviter de créer un nouvel afflux de véhicules. Il ne faut pas créer des villes dortoirs, il faut localiser l’emploi. »