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Le festival des arts de la rue Par Has’ART s’est déroulé, du 29 juin au 8 juillet, dans les douze villes de la communauté d’agglomération Paris-Vallée de la Marne. Les temps forts ont eu lieu à Champs-sur-Marne, sur la demi-lune, sur le parvis de la mairie et dans le parc du château.
Le festival des arts de la rue Par Has’ART n’ayant pu tenir sa troisième édition en 2020, celle-ci s’est déroulée du 29 juin au 8 juillet. Il s’agit d’un événement de la communauté d’agglomération Paris-Vallée de la Marne et chacune des douze villes qui en font partie a reçu au moins un spectacle. Le festival comporte un temps fort qui se tient chaque année dans une ville différente. Cette année, c’est Champs-sur-Marne qui l’accueillait samedi 3 et dimanche 4 juillet.
Une cérémonie officielle s’est tenue, samedi 3 juillet, sur la demi-lune, en face du château. Nicolas Delaunay, vice-président de la communauté d’agglomération chargé de la culture, déclare : « On a fait le choix des arts de la rue parce qu’il faut aller au devant des spectateurs. C’est le sens de ce festival de se dérouler dans l’espace public. » Il ajoute à l’attention du nouvel administrateur du château : « Le château de Champs est un joyau pour la ville et pour l’ensemble de l’agglomération. Vous ne considérez pas que le château est une enclave et vous voulez l’inscrire dans les événements. »
Maud Tallet, maire de la ville, complète à l’attention de l’administrateur : « Vous avez une très grande ouverture, et nous on fera tout ce qui est possible pour que le château entre dans le parcoursculturel de notre population. »
Le festival d’arts de la rue permet de programmer des événements et des spectacles dans des domaines variés : danse, musique, théâtre, cirque…et souvent de faire participer le public. Une douzaine de compagnies a animé les rues et les parcs des communes, avec la participation des associations, des médiathèques et du conservatoire Jacques-Higelin de Chelles.
A Champs-sur-Marne, les enfants ontpu, entre autre grâce aux pianos arrangés de la compagnie « Le piano du lac », déguster les cocktails qu’ils avaient préparés en jouant sur le piano cocktail réalisé à partir de celui imaginé par Boris Vian dans « L’écume des jours ».
Les six accordéonistes de la compagnie « Les rustines de l’ange » ont obtenu un franc succès, paticulièrement avec leur interprétation de « Smoke on the water » de Deep Purple.
