Courtry ► Trois caméras de vidéo-verbalisation seront installées le 1er décembre

Trois caméras permettant de verbaliser les stationnements irréguliers seront installées à compter du 1er décembre, à Courtry. Le maire de la commune, Xavier Vanderbise, a présenté le projet, mercredi 28 octobre. 

La vidéo-verbalisation va permettre de lutter contre les stationnements irréguliers et dangereux, pour fluidifier la circulation en décongestionnant des zones identifiées, rendues difficiles à certaines heures de la journée. Trois zones seront couvertes : la rue du Général Leclerc, à l’angle de la rue de la Bergerie ; la rue des Bonnes Vignes, place de l’Abîme, à l’angle de la rue du Général De Gaulle ; la rue Charles Van Wyngène, à proximité du collège Maria-Callas. 

Le maire de Courtry, Xavier Vanderbise, déclare : « Il est anormal que lorsque des places sont disponibles, les voitures stationnent en double file et génèrent une dangerosité. » Il précise : « Le problème se pose autour du café où, pour aller chercher un paquet de cigarettes ou faire un grattage, les clients préfèrent se mettent en warning plutôt que de perdre quelques secondes pour se garer correctement. »

Grégory Guérin, adjoint au maire chargé de la sécurité, rappelle : « Nous avons créé vingt-cinq places de stationnement pour cinq commerces et un équipement public, et que si tout le monde jouait le jeu, il n’y aurait pas cette difficulté. Si certains conducteurs pouvaient entrer directement dans la boulangerie en voiture, ce serait mieux mais c’est impossible. »

Nathalie Karajabarlian, adjointe au maire chargée de la réussite éducative, explique la nécessité de mettre une caméra à proximité du collège : « Un parking d’une vingtaine de places jouxte l’établissement. Il n’y a donc pas à avoir des voitures en stationnement irrégulier sur la route, qui mettent en danger les élèves. »

Afin d’informer le public de l’entrée dans l’une des zones sous vidéo-verbalisation, une annonce par voie d’affichage sera mise en place aux entrées des espaces, sur les axes routiers et piétons. Le projet de vidéo-verbalisation a été adopté par le conseil municipal, le 9 mars, après une autorisation préfectorale.