par Cessons de caricaturer les défenseurs de la cause animale : se soucier des animaux, ce n’est pas se désintéresser des humains et le respect envers les animaux ne retire pas de droits aux humains.
Nous regrettons d’ailleurs que cette question n’ait jamais été traitée « sérieusement » par les « décideurs » bien qu’une majorité de citoyens soit favorable à une amélioration de la condition animale ( CF L 214 et la problématique des abattoirs) .
Réfléchissons donc enfin dans nos communes, sur la place des animaux (domestiques et non domestiques) et la préservation de la faune existante (oiseaux, insectes, poissons, batraciens, mammifères)
Avec l’ensemble des acteurs concernés, déjà en action (LPO, Ecole des Chats, A Toutes Pattes, Colombophilie, Club Canin …), il faudrait en concertation et sous l’impulsion des municipalités :
– initier gratuitement à l’éducation des animaux domestiques
– créer un espace canin pour permettre la déambulation libre
– proposer des repas végétariens en restauration collective
– accueillir des cirques n’ayant pas d’animaux sauvages
– organiser plus régulièrement des campagnes d’identification et de stérilisation…
– aider la bonne gestion quotidienne des animaux pour les personnes en situation de handicap, de précarité…
– conserver les espaces naturels ou agricoles et développer les espaces verts
– défendre la création d’une fourrière intercommunale
– accompagner vraiment le travail des associations œuvrant dans ce domaine
– ré autoriser l’alimentation des animaux libres
– éduquer notamment les enfants et les jeunes à une relation harmonieuse et respectueuse Animal / Homme
– vérifier le respect les normes dans « notre » abattoir
On peut juger la grandeur d’un peuple à la façon dont il traite les animaux (Ghandi) : Alors soyons à la hauteur !
Franck Rolland, conseiller municipal Europe Ecologie Les verts à Villeparisis
