Meaux ► Premier salon de la jeunesse : prévention, passions et formations

Le premier salon de la jeunesse organisé par la ville de Meaux, qui s’est tenu vendredi 22 et samedi 23 janvier, a permis aux 11-25 ans d’obtenir des informations sur la santé, le logement, les déplacements, les formations et des activités culturelles.


Une cinquantaine d’exposants étaient réunis à la salle des fêtes de Meaux afin de répondre aux questions que les moins de 25 ans peuvent se poser. « Chaque espace est consacré à une thématique et s’efforce de répondre à un besoin dans les domaines de l’orientation, de la prévention, de la culture, des loisirs et du sport, de l’emploi ou de la formation » a expliqué Saly Diop, adjointe au maire déléguée à la jeunesse.

Ainsi Grégory, venu avec sa classe du lycée Jean Rose, s’est dirigé vers les stands consacrés aux métiers : « Je passe mon bac cette année et je n’ai encore qu’une vague idée de ce que je voudrais faire. Surtout que les inscriptions, c’est maintenant ! » a indiqué l’élève de terminale. Medhi, son camarade, préfère quant à lui s’attarder sur le stand de BD et de Mangas. Fan de Fairy Tail et de One piece, il rêve d’aller au Japon.

Aux stands de l’espace Caravelle et du service jeunesse, de nombreuses activités permettaient aux jeunes Meldois de s’épanouir grâce à la culture et à la création. Pour les plus ambitieux, des associations les conseillaient pour l’élaboration de CV, de lettres de motivation et même dans l’entreprenariat.

Un peu plus loin, des bénévoles tentaient d’attirer l’attention des adolescents sur les problèmes de santé. Ainsi, un atelier permettait de se rendre compte de l’effet de l’ébriété sur la vision grâce à des lunettes spéciales. Un autre rappellait la manière de bien se brosser les dents. Les intervenants de la CPAM ont tiré la sonnette d’alarme : « Les enfants n’apprennent plus à se brosser les dents à l’école et les parents ne s’en préoccupent pas. Alors qu’il faudrait le faire trois fois par jour, certains ne se brossent les dents que tous les deux jours ! » constatait une bénévole.