Les élus sociaux, délégués syndicaux de Force ouvrière du territoire France et comité d’entreprise de Schneider Electric, ont fait entendre leur voix en se joignant au mouvement de grève qui s’est déroulé jeudi 19 mars, au siège de la société, à Rueil-Malmaison. Les revendications portaient sur la politique salariale, industrielle et sur la disparition d’emplois « malgré les bons résultats du groupe » comme l’indiquaient les manifestants. Schneider arriverait en cinquième position à la cotation du CAC 40.
« Dans ces conditions, nous voulions exprimer notre incompréhension face au plan social annoncé, avec la fermeture du site de Saint-Soupplets » indiquent encore les délégués.