Communiqué de Béatrice Roullaud, députée sortante de la sixième circonscription de Seine-et-Marne, dimanche 8 juillet –
Avec 52,50% des voix, je suis heureuse d’avoir été reconduite dans mon mandat de députée.
C’est un mandat que j’ai exercé pendant deux ans avec sérieux et passion. Je continuerai à le faire.
Je suis surtout satisfaite d’avoir battu l’extrême gauche et notamment Madame Amal Bentounsi, présidente du collectif « la Police assassine », bien peu respectueuse avec son parti, des règles républicaines puisque des membres du NFP appelaient à contester le résultat des urnes en cas de victoire du RN. Celle dont l’équipe arrachait les tracts des mains des passants quand je faisais campagne sur les marchés.
Je voudrais d’abord sincèrement remercier les électeurs du Rassemblement National et ceux des Républicains de la ligne Ciotti, la seule droite en réalité. Je les invite à ne pas se décourager car nous avons augmenté nos scores.
Nous sommes le premier parti en matière de voix, (10 millions de voix), devant les Verts, le PC, la Nupes, Renaissance, et les LR. Nous sommes passés de 88 députés à 127. Notre dynamique est historique. Seul contre tous les autres partis coalisés pour barrer notre ascension et agiter les peurs, le RN a néanmoins objectivement progressé, ces chiffres le démontrent.
Je voudrais également remercier encore plus vivement peut-être, ceux qui n’ont pas l’habitude de voter pour moi ou pour le parti que je représente et qui ont néanmoins choisi de porter leur voix sur mon nom afin de ne pas donner les clefs de la sixième circonscription à l’extrême gauche qui jette le discrédit sur nos institutions et la police. Je les en félicite. Notre ville de Meaux et les communes de la circonscription méritent mieux que le NFP, dangereux pour nos institutions, notre sécurité et la prospérité économique du pays.
Enfin, je serai la députée de tous les électeurs de la sixième circonscription de Seine-et-Marne, que je recevrai avec plaisir à ma permanence de Meaux, 31 cours Pinteville, qu’ils aient voté pour moi, ou non.