Communiqué de Val d’Europe Attractivité, mardi 12 décembre –
Val d’Europe affiche des perspectives prometteuses sur le marché immobilier des bureaux grâce à l’évolution des aspirations des entreprises. De nouveaux acteurs tels que Regus et TD SYNNEX rejoignent le territoire et s’installent dans des immeubles aux gabarits plus conséquents.
Avec ses importantes réserves foncières et la capacité de son offre à s’adapter aux attentes des utilisateurs, le territoire franchit un nouveau cap : l’émergence des grandes surfaces de bureaux et la diversification des usages.
« La conjoncture économique à Val d’Europe confirme sa stabilité, avec la création et l’implantation, cette année, de 900 entreprises qui, pour beaucoup, y établissent leur siège social. Les indicateurs sont prometteurs : en quatre ans, le nombre d’emplois affiche une croissance de 12 % atteignant les 46 000. Le territoire, qui accueille désormais près de 7 600 sociétés, s’affirme aussi en adresse tertiaire. L’ampleur, la qualité et la diversité de nos réserves foncières nous autorisent à proposer des terrains aptes à accueillir des programmes d’envergure. » déclare Philippe Descrouet, président de Val d’Europe Agglomération.
Des implantations significatives
L’agglomération s’est investie pour séduire et accueillir de nouvelles entreprises. Pour convaincre, elle capitalise sur la superficie des terrains disponibles, la desserte multimodale (RER, TGV, etc…) -argument significatif auprès des acteurs qui souhaitent limiter l’empreinte carbone de leurs équipes- ainsi que la forte identité environnementale des lieux.
Parmi, les implantations en cours :
- TD SYNNEX, le leader américain de la distribution de technologies de l’information, a implanté son siège français au sein du nouveau quartier Studios et Congrès, dans le nouveau Centre Urbain du Val d’Europe. Courant 2024, quelque 400 salariés s’installeront sur 6 250 m2, dans l’un des bâtiments composant Mayfair, un ensemble immobilier riche en services à la personne développé par Legendre Immobilier.
- Regus, marque du groupe IWG, le leader français et international des espaces de travail flexible, confirme l’ouverture d’un centre hybride à Serris, en janvier prochain. Il proposera 190 postes de travail répartis sur 2 150 m2 au sein de l’immeuble Fantasia. En Île-de-France (hors Paris), les centres IWG affichent une hausse de fréquentation de 14 %, démontrant la pertinence de ce type d’espaces professionnels hybrides, dont la demande augmente sur le marché tertiaire régional.
- Deloitte, acteur mondial de référence en audit et activités de conseil, ouvrira en 2024 la Deloitte University EMEA. Imaginé par Dubuisson Architecture, ce campus de 22 000 m2 conçu selon une logique de limitation extrême de l’empreinte environnementale, accueillera chaque année, près de 22 000 collaborateurs en provenance de la zone EMEA[1]. Le choix de Val d’Europe s’est effectué à l’issue d’une étude approfondie de près de 80 agglomérations, en France comme à l’étranger.
Des rythmes de commercialisation dynamiques
Val d’Europe se révèle apte à convaincre les entreprises de s’implanter au sein de grands ensembles, typologie rare sur le marché des bureaux franciliens, et à fidéliser ses acteurs économiques. Ainsi, le Crédit Agricole Brie Picardie, présent depuis 2020 sur le territoire au sein de l’ensemble Osmose, où il emploie 400 personnes, a décidé l’acquisition de 2 800 m2 supplémentaires dans l’immeuble Armstrong.
Confirmation de son attractivité, le Centre Urbain du Val d’Europe affiche d’excellents résultats, avec 83 % de taux d’occupation pour 125 000 m2 de bureaux développés. L’extension du parc se poursuit avec 120 000 m2 en projet, dont 18 % sont d’ores-et-déjà précommercialisés. Les récentes transactions s’inscrivent dans le cadre du développement de nouveaux quartiers mixtes, menés conjointement par Val d’Europe Agglomération, Real Estate Development by Euro Disney et EpaFrance.
« 2023 a été marquée par de nombreuses livraisons de bureaux, rapidement commercialisés. La vitalité de ce marché à Val d’Europe signe l’adéquation entre la demande et l’offre disponible, notamment pour les grandes surfaces. Nous faisons le pari de l’immobilier hybride en œuvrant aussi pour le développement de logements, avec notre nouvelle formule gagnante fondée sur un confort de vie à deux pas du travail. » précise Christophe Giral, directeur Immobilier de Disneyland Paris.
Ces projets hybrides reposent sur le principe d’équilibre entre vies professionnelle et privée, lequel correspond au modèle de la ville du quart d’heure tel que porté à Val d’Europe. On peut ainsi évoquer les immeubles Armstrong et Fitzgerald développés par le groupe ALSEI dans le quartier des Studios et Congrès, proposant 5 000 m2 de bureaux et 900 m2 de commerces, livrés juste à côté de deux résidences totalisant 185 logements.
[1] Zone Europe, Moyen-Orient, Afrique.