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Communiqué du Parti radical valoisien, lundi 3 juillet –
Le Parti radical valoisien, doyen des partis politiques français, mérite d’être davantage représenté et doit reprendre toute sa place auprès des Seine-et-Marnais.
Dans la ligne de Jean-Louis Borloo comme de son président actuel, Laurent Hénart, il s’agit de mettre en place une « politique progressiste, qui prône l’égalité des chances, la laïcité et le respect des valeurs humaines ».
Notre parti doit être un acteur majeur au sein du département et prendre son envol en présentant, en Seine-et-Marne, une candidature aux élections sénatoriales de septembre 2023.
Toujours force de proposition, le Parti radical valoisien 77 a une longue tradition de travail en commun avec d’autres forces politiques, et il saura prendre ses responsabilités s’il doit mener sa propre liste, comme c’est déjà le cas dans d’autres départements.
Pour incarner les valeurs du parti, la candidate retenue est Valérie Prieux. Riche d’une expérience de neuf ans en tant qu’élue municipale en charge du développement économique, elle est également intervenue au sein de l’agglomération de Paris-Vallée de la Marne en tant que présidente du conseil de développement.
Entrepreneuse dynamique à la tête de plusieurs sociétés dans les domaines de la formation, du coaching et de l’édition de livres, elle s’implique également au sein du SME (Seine et Marne Entreprises), l’association de chefs d’entreprises qu’elle a fondée.
Valérie Prieux est également vice-présidente de l’Association nationale des collaborateurs de ministres et de parlementaires (ANCMP) chargée des relations publiques, et s’est investie durant plusieurs années au sein de la Société des membres de la Légion d’honneur (SMLH) pour aider les jeunes des quartiers prioritaires dans leur recherche d’emploi.
Mère de famille, en activité professionnelle depuis trente-quatre ans, elle est un acteur impliqué dans la cité depuis de longues années.
Au travers de cette candidature, le Parti radical valoisien souhaite rallier tous les élus qui revendiquent un accompagnement de proximité, l’équité budgétaire entre les communes, la simplification des démarches administratives et la gestion des dossiers tels que la sécurité, la désertification médicale et les transports en commun.
Il y a également une volonté de proposer de nouveaux sénateurs, apportant une vision et une valeur ajoutée différentes.
Valérie Prieux s’exprime
« La confiance ! Depuis plusieurs années nous constatons une perte significative de la confiance des citoyens envers les représentants de l’Etat dont nos maires et nos élus sont les premiers impactés.
Les élus ne respectant pas ou peu leurs engagements, couplé de l’incompréhension de gestion de certains dossiers, nuisent au monde de la politique ainsi qu’à tous ces hommes et ces femmes engagés qui se battent au quotidien pour le bien-être des habitants. Cet état de fait se manifeste par l’augmentation des agressions et violences verbales notamment.
Dans de nombreuses situations, le mécontentement des citoyens se fait de plus en plus fort au niveau national avec des répercussions au niveau départemental. Lors de mes échanges avec les habitants de Seine-et-Marne, je constate les mêmes retours : « On n’y croit plus », « Que font-ils réellement pour nous? », « Ce sont tous les mêmes, rien ne changera ».
Ne pas prendre en considération leur lassitude et revendications est un manque de respect et contribue à alimenter leur défiance envers nos élus.
Être connecté à la réalité du quotidien est un atout indéniable pour connaître, comprendre et trouver des solutions aux différentes problématiques des uns et des autres. Plusieurs maires, issus de petites communes ou villages, m’ont exprimé leur déception particulièrement quant au traitement inéquitable entre les communes, qui pour les plus grandes, bénéficient de moyens beaucoup plus importants pour se développer.
Mettre tout en œuvre pour mener des actions concrètes et être sincère dans ses engagements, permet de retrouver cette confiance. C’est un enjeu phare pour développer une relation saine et sereine entre les différents acteurs, quelles que soient les convictions. C’est le partage de l’intelligence collective dans les projets communs et l’envie de répondre aux intérêts du plus grand nombre qui me conduisent à être candidate aux sénatoriales ».
