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« Mademoiselle Spencer » de Christine Orban
Entrez dans la vie de Lady Di par le biais du récit étonnant de fraîcheur et de vitalité. Pas le moindre détail de la vie courte mais mouvementée de la princesse n’échappe au lecteur. On ne sait vraiment plus faire la différence entre les moments d’intimité volés et le talent de Christine Orban qui va très loin dans la narration de la femme trahie et malheureuse. Uun roman fort et poignant.
256 pages, 19,90 euros, paru le 26 mars, Albin Michel.
« La condition artificielle » de Paul Monterey
Un premier roman haletant et surprenant par la maîtrise des situations et lces rebondissements dans une sorte de traque amoureuse qui sort Arnaud de sa trajectoire fixée pour mener à bien une lutte contre le réchauffement climatique. Ses dons pour l’informatique vont faire vriller son cerveau suite à une rencontre avec Cho qui va le détourner de ses pensées pour de plus bas instincts.
256 pages, 20,50 euros, paru le 20 mars, le Cherche midi.
« Et les rêves dansent sur la rivière » de Karine Lebert
Un petit tour au Texas entre 1842 et 1895, cela vous tente t-il ? Rejoignez alors les Alsaciens partis tenter fortune en bâtissant un village en luttant contre les Indiens qu’ils découvrent. Le livre révèle un goût pour la description mais aussi creuse un secret bien gardé resté en France qui va déstabiliser un équilibre précaire provoquant quelques remous dans une vie qui change d’horizon.
240 pages, 20 euros, sorti le 6 mars, Les Presses de la Cité.
« La voix du mal » de Paul Duke
Un roman haletant entre deux cultures, celle française développée par Simon, journaliste pour Ouest France et celle de son père où le journaleux découvre lors d’un reportage au Congo la triste vérité sur son père qui avait apporté de l’aide aux réfugiés rwandais trente ans plus tôt. un lourd secret de famille ?
256 pages, 19,90 euros, paru en février, Editions du Rocher.
