« La Combe aux Oliviers » de Françoise Bourdon
Au lendemain de la grande Guerre Lucrèce, la cadette de la famille Valentin qui possède la passion de l’olivier comme son père vient le seconder dans la direction du domaine. Tout va basculer et Lucrèce va traverser la guerre en résistante et se battra avec un courage admirable pour sauver ses oliviers. Une histoire à la fois triste et gaie porteuse d’espoir.
Nouvelle édition, 304 pages, 21 euros, paru le 23 mai, Les Presses de la Cité.
« Les Amants du mistral » de Frédérick D’Onaglia
Une histoire qui sent bon la Provence dans un ciel d’orage pour les habitants de Fontvieille en plein cœur des Alpilles. Le parc d’attractions à dimension culturelle que dirigent deux femmes complètement opposées marche bien. L’argent rentre dans les caisses jusqu’à l’arrivée de Lou, femme rusée et ambitieuse qui séduit Julien bastide le fils de l’actionnaire majoritaire. Mais que cherche-t-elle vraiment à faire ? La clé du mystère sous le chant des grillons.
368 pages, 22 euros, paru le 2 mai, Les Presses de la Cité.
« Personne n’était censé mourir pendant ces vacances » de Catherine Mack
Un titre à rallonge, bien ciblé pour le livre pour le thriller bon enfant mais fort bien ourlé qui donne les liens mais sans serrer ceux-ci. On sent un charme plaisant dans l’enquête qui sent bon Agatha Christie mais en plus moderne dans une version de maintenant pleine d’humour avec le suspens qui prend le lecteur du début à la fin. Finement joué !
432 pages, 22 euros, paru le 6 juin, le Cherche midi.