« Les Mille et une Vies de Lucie » de Karine Lebert
Femme de lettres for brillante, avant-gardiste, dans le vent comme on dit dans sa ville natale de Honfleur, le roman s’inspire de l’histoire de Lucie Delarue Mardrus, voyageuse intrépide, femme libérée, entourée d’une réputation sulfureuse et d’un parfum de scandale. Scandaleusement libre pour l’époque (1874-1945), elle a mené une vie d’une modernité que bien des femmes d’aujourd’hui auraient voulu connaître.
336 pages, 22 euros, paru le 4 mars, Les Presses de la Cité.
« Vérités et mensonges » de Caz Frear
A 8 ans, Cat se souvient parfaitement de Maryanne Doyle, adolescente de 17 ans, qui a disparu. A 26 ans, Cat est devenue inspectrice de police et tombe sur une enquête intrigante où le corps de Maryanne est retrouvé non loin du pub que tient son père. Et si le paternel qui a tendance à mourir était au centre du meurtre ? Où est la vérité ?
432 pages, 24 euros, paru le 21 mars, Editions L’Archipel.
« La Constance de la louve » de Cécile Baudin
Native de Lyon mais habitant en Seine-et-Marne, l’auteure est attachée au côté régional comme dans le livre qui se passe en Lozère en 1835 dans le Gévaudan où le mystère demeure après le décès d’un étudiant en médecine. On entre dans une enquête à la fois surprenante et angoissante avec un schéma atroce qui semble rôder derrière des drames au cœur de la légende de la fameuse bête du Gévaudan.
427 pages, 22 euros, paru le 14 mars, Les Presses de la Cité.