« Bandes de génie » de Robert Mc Almon
Romancier, éditeur américain qui s’est installé en France en 1921 l’artiste bohème a fréquenté tous les artistes et écrivains de l’époque dans la capitale. Le livre est une plongée délicieuse avec le noceur infatigable, visionnaire de la génération perdue et qui nous emmène avec nonchalance dans les bas-fonds de Paris en fumant de l’opium avec une foule d’anecdotes dans cette histoire d’un autre temps mais qui a bien constitué les Folles années. Vraiment surprenant.
480 pages, 22,90 euros, paru le 18 janvier, Séguier Editions.
480 pages, 22,90 euros, paru le 18 janvier, Séguier Editions.
« La paix paresseuse » de Julien Donadille
Avril 1935 sur les bords du lac Majeur pour une réunion diplomatique pour un enjeu majeur, celle d’éviter une autre guerre dont personne ne veut mais qui chauffe avec le rétablissement du service militaire par Hitler. Un roman détaillé, précis, énigmatique, prenant en prise avec les petites histoires dans la grande Histoire.
273 pages, 18,90 euros, paru le 17 janvier, Editions du Rocher.
273 pages, 18,90 euros, paru le 17 janvier, Editions du Rocher.
« Le vestibule des lâches » de Manfred Kahn
Quel joli titre pour un premier roman qui tient visiblement la route et les sentiers perdus où le lecteur va s’égarer pour mieux se retrouver. Il va se passer bien des choses dans cette vallée perdue des Alpes avec un duo qui inspire le désir, la passion entre ces deux êtres qui vivent pleinement leur amour mais aussi la haine qui va faire basculer leur vie. Très prometteur.
336 pages, 9,50 euros, paru le 17 janvier, Rivages/noir poche.
336 pages, 9,50 euros, paru le 17 janvier, Rivages/noir poche.