Le style british est vraiment délicieux et particulier.
« Meurtres dans un village anglais » de T.E. Kinsey
Lady Hardcastle, aristocrate savoureuse et excentrique, détective amateur se laisse entraîner par sa fougue légendaire dans les coins de campagne anglaise. Là, il faut résoudre l’énigme d’un fermier local retrouvé la tête dans la tourbe. Meurtre ou simple accident ? La liste des suspects possibles s’allonge pour lady qui, avec sa dame de compagnie ont les pires difficultés à bâtir quelques théories constructives avec un humour british qui donne le sourire.
358 pages, 17,0 euros, paru le 21 avril, Editions City.
« Pisser dans la soupe » de Marian Donner
Un petit livre tout simple pour mieux ouvrir les yeux dans un monde étouffant car trop compétitif, se veut plus clean et trop étouffant. L’auteur calme le jeu pour tenter de vivre dans un monde sans (trop) de pression. Les exemples sont édifiants et les solutions faciles d’accès pour se prendre enfin en main et être soi-même. Un ouvrage de référence.
144 pages, 17 euros, paru en avril, Le cherche midi.
« La prisonnière du roi » de Gilbert Bordes
Le destin hors du commun de la belle princesse danoise de 18 ans sacrée reine de France en 1193 mais répudiée le lendemain par son époux Philippe Auguste. Un destin hors du commun au cœur des secrets de la cour du royaume de France où Ingeburge ne va jamais renoncer à sa couronne en suivant malgré tout le doux chemin de l’amour. Un roman d’Histoire… d’amour.
375 pages, 21 euros, paru en avril, Presses de la Cité.
« Des cendres sur nos cœurs » d’Annie Degroote
Originaire de ses Flandres qu’elle décrit si bien dans ses romans, Annie Degroote livre une destinée romanesque d’un jeune catholique flamand prêt à tout pour sauver les siens avec une bien jolie fresque historique au XVIe siècle. Quand un brillant étudiant au cœur pur, proche des humbles entre dans l’intimité des grands du royaume d’Espagne tout en restant attaché à ses racines.
505 pages, 21 euros, paru en avril, Presses de la Cité.