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« Les yeux des ténèbres » de Dean Koontz
Et si l’auteur était prophète ? Dans ce livre déjà sorti en 1996 Dean Koontz imagine une pandémie mondiale issue d’un laboratoire, institut de virologie. Une arme bactériologique créée dans une ville chinoise et dont l’épidémie se propage à grande vitesse. Dans ce roman alerte et troublant vous allez passer vous aussi par tous les stades. Ce n’est qu’un roman mais cela rappelle quelque chose.
360 pages, 20 euros, sorti le 28 mai, l’Archipel.
« J’peux pas j’ai synchro » de Jean-Philippe Jel
Voici un livre qui sent bon la piscine, la mer mais avant tout la liberté de choix. Il fallait être décidé comme Jean-Philippe Jel pour se lancer dans la natation synchronisée où l’on trouve autant d’hommes que dans un cours de tricot. L’ex-officier de marine s’est lancé en apnée et respire maintenant synchro. une passion comme Platini avec son ballon ou Bruel avec son micro. Entrez l’orteil dans le petit bassin pour suivre un auteur drôlement persuasif. A vous de nager autrement.
168 pages, 17 euros, sorti le 20 mai, Favre.
« Lune de Tasmanie » de Tamara Mc Kinley
Un joli voyage au pays des souvenirs pour Christy qui décide à 65 ans de se rendre en pèlerinage en Ecosse, sa terre d’enfance. Un long voyage vers le passé en compagnie de sa fille où des souvenirs remontent à la surface. L’écriture est fluide, délicate, sentimentale et également émouvante. Un beau roman à lire certainement en compagnie d’une larme accompagnatrice.
374 pages, 22 euros, sorti le 28 mai, l’Archipel.
« Le livre de M » de Peng Shepherd
Un premier roman qui a du peps pour cette auteure née et qui a grandi à Phoenix en Arizona. Un phénomène curieux se passe en Inde avec l’ombre des gens qui disparaît. Des milliers puis des millions de cas similaires pour cette sorte de pandémie inexpliquée et qui frappe des gens ordinaires victimes de cette catastrophe extraordinaire.
585 pages, 24,90 euros, sorti le 18 juin, Albin Michel
