Vacances d’hiver ► A quoi les voyageurs peuvent-ils s’attendre ?

 

Les vacances d’hiver viennent de débuter en zone C. Un rêve qui pourrait rapidement se transformer en cauchemar pour les compagnies aériennes et les passagers cette année.

Une analyse de Flightright, le leader européen des droits des passagers, montre que les retards et les annulations ont baissé en moyenne de 63,29% pendant les vacances d’hiver l’an dernier par rapport à 2018. Cette année, le nombre de vols annulés et retardés devrait être plus conséquents avec les mouvements de grèves et la pandémie liée au Coronavirus. Ce sont plus de 30 000 vols qui sont généralement prévus pour les vacances de février en France.

Les retards et les annulations de 2019 montrent un taux de perturbations faible pour les aéroports de Paris Charles de Gaulle, Paris Orly et Toulouse. Si ces chiffres sont plutôt de bonnes augures pour les voyageurs sur le départ, il faudra néanmoins faire attention aux mouvements sociaux qui impactent le ciel aérien depuis la fin d’année 2019, ainsi que la pandémie liée au Coronavirus qui perturbe les vols de certaines compagnies aériennes, dont Air France.

 

 

Quelles sont les destinations préférées
des Français pour les vacances d’hiver ?

64% des vols au départ des aéroports français l’an dernier était des vols à destination de l’international, avec comme destinations préférées Amsterdam, Madrid, Lisbonne, Rome ou encore Barcelone. En ce qui concerne les destinations internes, les français ont plébiscité Paris, Toulouse, Lyon, Marseille ou encore Nice.

Réclamer son indemnisation
en cas de surbooking, retard ou annulation

Dans de nombreux cas, les passagers ont droit à une indemnisation allant jusqu’à 600 € par vol. Des plateformes web telles que Flightright aident les passagers à réclamer un dédommagement aux compagnies aériennes. En quelques clics et gratuitement, les voyageurs concernés peuvent vérifier si une indemnisation est possible et la faire valoir. Pour rappel, en France, il est possible de faire une réclamation jusqu’à 5 ans après l’incident.