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Voici le grand retour de Michel Bussi pour un voyage qui flirt avec l’amour passé, la nostalgie mais aussi le suspense des battements du cœur. Les thrillers sont de retour et les oiseaux aussi avec un guide d’une grande utilité. Ça sent bon le printemps.
« J’ai dû rêver trop fort » de Michel Bussi
Parfois le cœur ne s’arrête jamais de battre la chamade. Les plus belles histoires d’amour ne meurent vraiment jamais en continuant leur petit bonhomme de chemin. Mais le hasard des rencontres existe t-il et n’y a t-il a pas que des rendez-vous ? Vingt ans après, le passé se représente sur le pas de la porte en défiant toute explication rationnelle.
Et là, l’auteur à succès Michel Bussi entre en scène, maîtrisant comme un « pape » de l’édition le roman fluide et prenant de bout en bout.
Roman, 477 pages, 21,90 euros, paru le 1er mars aux Presses de la Cité
« Et que les barrières sautent ! » de Michael Caine
Un livre de mémoires pour le célèbre acteur ? Pas que mais plutôt un livre de conseils, une conversation avec le lecteur avec des observations sur les rapports entre les acteurs et les réalisateurs avec les plus grands acteurs et actrices. Une véritable philosophie de vie dans une société du cinéma en pleine évolution. Beaucoup de charme mais aussi un humour dévastateur pour des anecdotes drôles et imprévues.
Roman cinéma, 324 pages, 21 euros, paru le 26 mars chez BakerStreet
« Le guide nature : les oiseaux »
Ils arrivent. Le cœur battant en picorant graines et nuisibles. Mais qui sont ces oiseaux qui sifflent sur vos têtes ? Ce guide clair, précis, réunit l’ensemble des oiseaux qui volent. Famille, milieu, traces, indices pour identifier les nids, les plumes… le septième guide de la collection répond à toutes les questions que l’on peut se poser en promenade, dans son jardin, au bord de la mer, en ville, dans les roseaux, au lac, en montagne…
Un petit livre est indispensable pour aimer et protéger les oiseaux. En plus il tient dans la poche.
Ouvrage collectif de la rédaction de la Salamandre, 200 pages, 17 euros, paru le 21 mars chez Salamandre.
« Le Colis » de Sébastien Fitzek
Visiblement Sébastien Fitzek « aime plonger dans les abysses de la psyché humaine et demeure fasciné par les chemins tortueux que peut emprunter l’inconscient ». Après le large succès de son premier roman paru en France il y a dix ans, l’auteur s’est installé dans le fauteuil des auteurs qui comptent au hit-parade de la reconnaissance.
On retourne avec un plaisir non dissimulé dans une énigme prenante, haletante avec une psychiatre choquée par une agression qui reçoit un colis qui visiblement ne lui est pas destiné. La machinerie angoissante se met en jeu. A notre plus grand plaisir pour ne plus lâcher le livre des mains.
Thriller, 320 pages, 22 euros, paru le 6 mars chez L’Archipel.
« Nuits appalaches » de Chris Offutt
Jeune vétéran à la fin de la guerre de Corée, Tucker rentre dans son Kentucky natal en tentant d’apaiser sa violence. Sa rencontre avec la jeune Rhonda va semble t-il équilibrer sa vie en construisant un foyer heureux.
Une enquête des services sociaux va menacer un équilibre précaire et acculé, Tucker va reprendre ses réflexes de soldat en découvrant le prix à payer pour défendre les siens.
Roman, 224 pages, 21,40 euros, paru le 7 mars chez Gallmeister.
