
A Moussy-le-Neuf, il est de tradition d’organiser une soirée de divertissement pour récompenser les associations et leurs bénévoles. Samedi 28 janvier, le complexe du Chêne a ouvert ses portes à quelques 400 participants venus assister à la grande soirée annuelle.
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La statue du Maréchal Gallieni a été inaugurée au musée de la Grande Guerre à Meaux, vendredi 22 janvier, par Michel Rouger, directeur du musée, accompagné de Muriel Hericher, adjointe au maire, déléguée à la culture et au patrimoine de l’agglomération.
La statue du Maréchal Gallieni, tournée vers l’est, trônait depuis plus de 80 ans sur une parcelle de terrain appartenant à la ville de Paris aux abords de la RN3, au carrefour de Trilbardou. Le carrefour est couramment appelé "Gallieni" en raison de l'implantation de la statue, même si celle-ci n'y est plus depuis janvier 2007.Le bronze de 4,50 m de haut avait disparu du paysage après une tentative de vol. Le déboulonnement était commencé quand un cultivateur s'était aperçu des faits et les avait signalés aux autorités. L'effigie du maréchal gisait au pied de son socle. C'est vraisemblablement le métal dont la statue est composée qui intéressait les voleurs. La ville de Paris, propriétaire de la statue, avaient préféré la mettre à l'abri avant qu'elle ne soit réellement enlevée.
Conservée depuis lors à Paris, la statue du maréchal a été restaurée et a pris place au musée de Meaux le 8 décembre 2015.
Le musée de la Grande Guerre a également récupéré le double en plâtre, maintenant installé à l’intérieur du musée. « La statue du Maréchal Gallieni était effectivement au bord de la RN3 et était dirigée vers Villeroy, montrant ainsi le champ de la bataille de la Marne (Le maréchal était alors général). Avec notre mécène, France Mutualiste, nous avons retrouvé la statue dans les réserves de la ville de Paris. Nous avons pu rapatrier les deux statues au musée, l’une est en plâtre et installée sur un socle à l’intérieur du musée, l’autre, en bronze, a été mise dans le parc sur son socle » indique Jean-Christophe Ponot, président de la société des Amis du musée de la Grande Guerre.
Le général Elrick Irastorza, président de la mission du centenaire, et Richard Pernod, représentant de France Mutualiste, mécène de l’opération (transport et installation), ont participé à la soirée inaugurale.
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Deux compétitions, rassemblant deux bouts de vie, (benjamins et vétérans), se sont déroulées à Aulnay-sous-Bois. Les 30 et 31 mai derniers dans le superbe complexe sportif des salariés de l’ancienne usine PSA, le critérium national benjamins et les rencontres nationales vétérans ont eu lieu.
Les deux compétitions ne sont pas appelées "championnats de France" car elles ne sont pas issues de qualifications.
La marche était un peu trop haute chez les benjamins-benjamines. Mitry-lutte présentait Inès, Clara, et Yanis. Contre Châlon-en-Champagne, Yanis gagne à la dernière seconde, mais Clara se loupe.
Inès fait tout ce qu’elle peut contre une bonne lutteuse de la Réunion, mais sans résultat. Elle continue son apprentissage de la compétition. « L’an prochain, avec une équipe plus étoffée, Mitry-Lutte devrait mieux figurer » signale Christophe Hingant, président du club.
Les benjamins ayant reçu leurs médailles, c’était au tour des vétérans de démontrer sur la bâche leur savoir-faire. En catégorie des 130 kg, lutte libre, Christophe Hingant s’offre une belle victoire avec une attaque aux jambes de son adversaire. Cyril Lemeur, champion de France, remporte deux victoires en lutte libre, catégorie 69 kg, avant de s’incliner en finale. En lutte gréco romaine, il laisse échapper son titre contre un lutteur plus expérimenté. Michel, en catégorie des 97 kg, quant à lui, remporte la palme d’or en toute sérénité, avec deux matchs en lutte libre et un match en lutte gréco-romaine. Fort de son expérience, il s’adjuge deux titres nationaux. Bravo Michel !
70 membres dont 25 féminines
USJM Mitry-Lutte, un club plein d’avenir et d’espoir avec 70 membres dont 25 féminines, compte parmi ses adhérents, plusieurs médaillés à chaque compétition. Le grand événement de l’USJM Mitry-Lutte, (Union sportive des jeunes de Mitry) est en 2016, avec les jeux olympiques de Rio. 50 jeunes sportifs seront désignés, dont 5 lutteurs. Un projet en partenariat avec la ville de Mitry-Mory, le club Omnisport USJM et l’association Sport à vie. La recherche de sponsors a déjà commencé pour financer le voyage et le séjour. « Nous espérons concrétiser le rêve de tous ces jeunes sportifs, qui, j’en suis sûr, reviendront avec des souvenirs inoubliables et, on espère, des médailles » confirme Christophe Hingant.[gallery type="rectangular" size="medium" ids="4300,4299,4298,4297,4296"]
Bruno et Christophe ont ouvert les portes de leur entreprise, la Carrière du clocher, samedi 30 mai. La famille a offert une promenade guidée aux visiteurs impressionnés par l'entrée des souterrains d'où sont extraits les blocs de pierre.
La carrière ne compte pas moins de quarante kilomètres de tunnels. C'est un vrai labyrinthe que seul le personnel du site connaît. « Aujourd’hui c'est exceptionnel car nous faisons pénétrer les visiteurs sous terre. Nous n'allons d'ailleurs pas nous aventurer trop loin. Il est bien sûr interdit, sans accompagnement, de s'avancer dans les galeries » indiquent les responsables.
Depuis 1957, le groupe Gauchy exploite le site pour en extraire des blocs de pierre calcaire de 7 à 8 tonnes chacun.
La journée Portes ouvertes était agrémentée de jeux pour occuper les enfants : structure gonflable et carrousel. Le midi, les visiteurs ont été invités à partager un buffet campagnard autour de la cheminée allumée pour l’occasion.
Trois questions à Christophe Gauchy
L’extraction est calculée en mètres cubes, il faut en compter 3 000 par an.
Comment procédez-vous ?
Nous avons creusé les galeries de sept mètre de large sur sept mètres de haut, de façon à permettre la circulation aux engins de transport. Les blocs sont découpés par des machines appelées débiteuses, puis ils sont conduits à l’usine de façonnage. Tout est programmé en fonction de la commande du client.
Qui sont vos clients ?
Nous fournissons les entreprises du bâtiment, les promoteurs, les tailleurs de pierre, les particuliers. Nous faisons également du débit sur mesure. Nous approvisionnons aussi, des entreprises spécialisées dans la restauration de monuments historiques.
Le deuxième concours de pêche de la saison, samedi 30 mai, organisé par l’association mitryenne des pêcheurs à la ligne, s'est déroulé sur l’étang de la Villette-aux-Aulnes. Robert, dit Robocop, a sorti une carpe amour de 4,8 kg, à l’anglaise : « J’ai essayé la pêche à l’anglaise qui consiste à noyer le fil sous la surface de l’eau avec un bouchon spécial. La méthode permet de lancer loin l’appât. Une bagarre d’une bonne dizaine de minutes a été nécessaire pour amener la bête dans l’épuisette ». Il ajoute : « A l’anglaise, nous sommes monté fin alors attention à la casse ! »
"Malheureusement il y avait peu de monde pour ce deuxième concours de pêche de la saison, entravé par les gens du voyage, qui campent à proximité de l’étang" ont indiqué les organisateurs. Les pêcheurs ont préféré renoncer ce jour-là, par crainte du voisinage trop particulier.
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Mitry-Mory a reçu, dimanche 17 mai, le Tour de l’Est parisien, la course cycliste mythique dans le monde du vélo. Depuis 30 ans, l’USJM (Union sportive de la jeunesse mitryenne) et le club du Bois-Saint-Denis (Tremblay-en-France) organisent chaque année, pour le week-end de l'ascension, le contre la montre de la 3e étape et la course sur route de la 4e étape.
Dimanche, c'était un véritable plateau de choix pour cette 30e édition avec 150 coureurs. Une dizaine de féminines étaient venues d’Ile-de-France, de province et de Belgique, avec Doedere Reuske, championne du monde sur route 2015 FSGT. Les courses régionales FSGT ne sont pas réservées qu’à la jeunesse, les vétérans ont aussi leur place.
Patrick Lemoine, 58 ans, coureur vétéran, 7e au championnat du monde sur route déclarait : « Je fais des courses cyclistes depuis une trentaine d’années, pour le plaisir, sur les classiques régionales, avec un peu plus de hargne pour les championnats de France et championnats du monde. Il ajoute : « Je vais continuer tant que la santé me le permettra, et après on verra. Chacun son destin, il y a des types qui durent et d’autres moins, moi j’espère durer ».
Les préparations allaient bon train avant le départ. Les mécanos effectuaient les derniers réglages. Morgan Thillay, coureur mitryen du Bois-Saint-Denis, signalait que son dérailleur montrait une petite faiblesse. Aussitôt dit, aussitôt fait, le vélo se retrouvait sur l’établi improvisé à l’arrière de la voiture-atelier. Jean-Jean, le mécano méticuleux et rapide, indiquait : « Il ne faut rien laisser au hasard, chaque seconde compte, le coureur doit pouvoir compter sur nous en cas de pépin !»
A 14 h 30, tous les coureurs se sont rassemblés sur la ligne de départ de la 4e étape du Tour de l’Est parisien, rue de 8 mai-1945. La tension était palpable chez les cyclistes, tandis que les élus posaient pour une dernière photo avant de faire sonner la cloche. Les coureurs s’élançaient alors pour les neufs tours de 20 km.
Une chute de Quentin Damasse, coureur mitryen, aux couleurs du club du Bois Saint Denis, lui a valu de se retrouver à l’hôpital. D'autres coureurs ont été entraînés dans l'accident, dont Morgan Thillay, qui a terminé en milieu du peloton après une remontée fulgurante.
Le podium s'est composé du maillot jaune André Oli de Thionville, en deuxième de Martin Peirreira, du Val-d’Oise et en troisième de Damien Masse du Val-d’oise.
Sur le podium féminin, le maillot jaune a été attribué à Cécile Kuillac, de Stains, à la championne du monde, Doedere Reuske sur la deuxième marche et encore à la Belgique avec Den Otter Kinsur sur la troisième marche.
Les cadets de Mitry se sont illustrés grâce à Brice Thillay du Bois-Saint-Denis qui a remporté la deuxième marche du podium.
La galerie photo
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C'était la première fois que les journées des plantes, qui se déroulaient jusqu'à présent à Courson, avaient élu domicile dans le domaine du parc du château de Chantilly (Oise). Un décor majestueux pour l'événement qui a attiré des milliers de visiteurs, le 15, 16 et 17 mai. La transplantation du site a été une réussite.
Sur place, les amateurs de plantes et fleurs n'en revenaient pas : "Il y a tellement de variétés de plantes ! Et aussi beaucoup de monde ! Les parkings se remplissent à vue d'œil. C'est vraiment un événement hors du commun" indiquait Michel, venu de Villepinte rien que pour le plaisir. Comme chaque visiteur, il s'est baladé entre les allées jalonnées de fleurs, arbustes et plantes. Des animateurs prodiguaient leurs conseils de jardinage pour la mise en pleine terre ou le rempotage ou encore sur des accessoires, comme les bottes "super imperméables".
Comme chaque année, l'événement se tiendra à nouveau à l'automne, dans le domaine de Chantilly.
La galerie photo
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Dimanche 17 mai, le quartier de Mitry-le-Neuf était noir de monde sous un soleil éclatant. Les marchands avaient envahi les rues, pour la joies des chineurs. Les brocanteurs d'un jour exposaient leurs objets triés dans les caves ou les greniers, de la peluche des enfants, à la lampe à pétrole de papy.
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160 joueurs se sont partagés les quatre terrains extérieur du complexe sportif du lycée Charles-de-Gaule, dimanche 17 mai. La deuxième édition du tournoi régional de basket, Maurice Lerosier, organisé par l'ABC Dammartin a été couronnée de succès.
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Des élèves du lycée Honoré-de-Balzac, à Mitry-Mory, avec le soutien de la municipalité, ont rendu un dernier hommage à leur camarade de classe et ami, mercredi 13 mai, à la salle Jean-Vilar. Maël, 15 ans, s'est donné la mort en se jetant sous un train, vendredi 17 avril, à la gare de Mitry-Villeparisis.
Sur les enregistrements des caméras de surveillance de la gare, l'ado a été vu, prostré, pendant environ trois quarts d'heure. Son geste n'a pas de sens pour sa famille, ses proches et ses amis. Personne ne comprend l'acte désespéré de Maël et sa famille cherche à savoir. Le drame a plongé l'entourage de l'adolescent dans un gouffre d'interrogation.
La réunion, mercredi, a permis au groupe de musiciens composé de ses meilleurs copains, de jouer une dernière fois pour lui. Sophie, la maman de Maël, explique : « Nous avons voulu faire quelque chose en hommage à mon fils Maël, qui a voulu par ce geste fort, irréversible, montrer une détresse cachée tout au fond de lui-même. Nous n’avons rien vu venir. Ni ses professeurs, ni ses amis, ni sa petite amie, n'auraient pu présumer du drame qui allait se dérouler. Dans les derniers textos qu’il a envoyés aux plus proches, il parlait de personnes qu’il fallait 'réveiller' ».