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Le gala de l'Amitié, devenu une tradition pour les plus de 65 ans, s’est déroulé à la salle Elysée à Mitry-Mory. L’événement a réuni 700 convives en deux fois, samedi 30 janvier et samedi 6 février.

Pour les deux déjeuners de fête, les organisateurs avaient concocté un programme avec des danseuses brésiliennes, avec également le magicien Youssef Ramdane, créateur de l’association « Cabaret de Poche », et l’orchestre Stakies.

Le thème choisi reposait sur le Brésil. Décidément Mitry a un penchant pour le Brésil puisque la ville a aussi reçu les lutteurs sud-américains et en a profité pour faire un clin d’œil aux jeux Olympiques de Rio.

« D’année en année le nombre de participants augmente. C’est un bon moyen de se retrouver entre amis ou voisins autour d’une table, au moins une fois dans l’année... Les Brésiliennes ont réveillées la libido de certains » confie avec un clin d'œil et en riant, Bernadette, 88 ans.

Dans le domaine des animations, Charlotte Blandiot-Faride, le maire, a annoncé lors de son discours : « Le 13 mars sera lancé le premier thé dansant du dimanche... Nous allons mettre en place également des ateliers d’information et de bien-être... Les travaux de l’espace festif ainsi que du conservatoire vont commencer... Le cinéma Le Concorde est de nouveau ouvert et j’invite les habitants à s’y rendre et profiter du nouvel aménagement... Une halle au marché sera inaugurée samedi prochain place Allende... Le marché du Bourg fonctionne toujours le vendredi après-midi... En 2016, nous fêterons les 80 ans du Front Populaire".

Le banquet de l’amitié, les animations, le transport des personnes, ont été pris en charge par la municipalité.

Le maire a ensuite invité les doyens du jour et l’anniversaire du jour à se rapprocher de l’estrade pour recevoir leurs cadeaux.

Les doyens
Raymonde Vonwambeke, 93 ans et René Bertin, 91 ans.
L’anniversaire du jour
Jannine Deniset 84 ans.

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Brésiliens : La délégation brésilienne masculine de lutte a fait une halte à Mitry-Mory, jeudi 4 février, au gymnase Ostermeyer...

Les champions brésiliens sont venus à l'occasion du tournoi international de lutte, « Grand Paris », où plus de 500 lutteurs mondiaux se sont affrontés sur la bâche, les 30 et 31 janvier. Les lutteurs représentaient 40 nations.

La délégation nationale brésilienne de lutte, invitée chaque année par Mitry-Lutte lors des championnats parisiens, a participé à l’entraînement avec nos champions locaux. « L’année dernière, nous avons reçu l’équipe féminine. Cette année ce sont les garçons qui nous rendent visite » indique Christophe Hingant, président du club. Pendant plus d’une heure, les lutteurs mitryens ont pu échanger et prendre quelques précieux conseils prodigués par les invités internationaux. « Nous sommes fiers et heureux de côtoyer de près de grands champions, comme l’équipe du Brésil. Ils nous apprennent des trucs. Ça peut nous servir dans les prochaines compétitions » confie Patrick. Charlotte Blandiot-Faride, le maire, Marianne Margaté, adjointe au maire et licenciée de Mitry-Lutte, Bernard Leroy, coprésident de l’USJM (Union sportive des jeunes de Mitry) et les parents venus en spectateurs ont encouragé les sportifs.

L’équipe féminine qui était venue l’an passé est restée s’entraîner au Brésil en vue des jeux olympique de Rio. Christophe Hingant, à la fin de la réunion, a invité tous les participants à une deuxième manche au Café du commerce pour le verre de l’amitié. « Nous avons reçu avec beaucoup de plaisir et d’honneur les équipes masculines de lutte gréco-romaine et lutte libre du Brésil.  Nous avons pu faire un superbe entraînement, haut en chaleur, parce que ce sont de grands champions et à notre niveau, nous avons un peu souffert. Je pense que les muscles nous réveilleront cette nuit et demain matin. L'entraînement est tombé à point nommé étant donné que l’on a les championnats régionaux à assurer dimanche prochain. Bientôt nous avons également les championnats de France vétérans ».

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Décorations de Noël : La municipalité de Mitry-Mory a récompensé les candidats sélectionnés pendant le concours des décorations de Noël, maisons et balcons.

Vendredi 5 février, salle Jacques-Prévert, onze candidats au concours se sont déplacés en famille pour les résultats, comme Chantal Labbez, arrivée sur le podium en catégorie maison. Elle déclare : « Tous les ans nous décorons notre maison. C’est devenu une tradition dans la famille. Nous croyons à la magie de Noël. Nous avons commencé par un sapin illuminé puis nous avons continué au fil des années, toujours en améliorant la déco. Il faut avoir le goût de le faire, surtout à l’entrée de l’hiver. Ce n’est pas toujours facile avec le mauvais temps et puis ça demande même un peu de budget".

Charlotte Blandiot-Faride, le maire, entourée de ses adjoints, Marianne Margaté, Benoît Penez, et du service municipal délégué aux festivités, a remis les récompenses aux gagnants : un bon d'achat de 60 euros pour le premier, 40 euros pour le deuxième, 30 euros pour le troisième, agrémenté d’un bouquet de fleurs et de la photo de leur habitation prise lors du passage du jury dans les quartiers.

Un jury des enfants au centre de loisirs a également élu deux candidats dans les catégories maison et appartement. Le prix  a été remis au deux lauréats : un livre et la photo de leur maison ou appartement décorés.

Les lauréats
Catégorie maison :

1re :  Estelle Ferrantilli

2e : Chantal Labbez

3e : Christian Fossey

Catégorie appartement :

1re : Madeleine Haller

2e : Laurent Léonet

3e : Sophie Ponthier.

Prix spécial enfants

Catégorie maison : Chantal Labbez

Catégorie appartement : Laurent Leonet

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Poste : Les Juliaciens ont leur nouvelle agence depuis vendredi 5 février. Située dans la zone de service, rue de la Source, elle est voisine de la superette, de la pharmacie et du cabinet médical.

La zone de service est facile d’accès en voiture avec ses parkings. Pour les piétons, un peu de marche sera nécessaire pour arriver jusqu'au bureau de poste. Madeleine, 78 ans, habitante du village, indique : « La vieille poste était en centre-ville ; pour les personnes âgées habitant à proximité, c’était facile. Maintenant il va falloir prendre un peu plus son temps. Mais il faut bien se moderniser, les enfants sont tous véhiculés ».  C’est à 9 heures que l’employé de la Poste a ouvert les portes du nouveau bâtiment aux habitants venus déposer leur courrier pour ce jour inaugural.

Daniel Haquin, maire du village, commente : « La nouvelle Poste entre dans l’action menée par la municipalité depuis plus de vingt ans pour garder ses commerces de proximité. Pour pouvoir les maintenir, il a fallu trouver un autre mode de présentation, c’est à dire implanter les commerces dans une zone accessible au stationnement. Les commerces se sont installés au fil des ans. Aujourd'hui, la Poste va donner à la zone une attractivité supplémentaire. Elle servira aussi pour les habitants des communes environnantes et les gens qui passent par Juilly pour aller travailler. D’après les archives, en 1905, l’ancienne poste se trouvait en centre-ville, dans un lieu qui était adéquat à l’époque mais qui ne convenait plus à notre nouvelle façon de fonctionner, et surtout où on ne pouvait pas stationner facilement».

Le nouveau bureau de poste sera complété dans les mois à venir par des services supplémentaires, comme la caisse d’assurance vieillesse, un accueil Pôle emploi, un bureau GRDF.

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Bal country : Ils ont foulé le plancher de la salle des fêtes de Charny jusqu’au bout de la nuit, samedi 6 février. 120 danseurs de country venus fêter la Chandeleur ont enchaîné les danses typiques animées par le célèbre DJ, Jean-Paul Dupuy de l’association Calamitry’s Blue.

Le stand crêpes qui permettait aux danseurs du bal country de reprendre de l'énergie n'a pas désempli de la soirée. Karine, animatrice de l’association Let’s dance, commente : « Nous sommes surpris et heureux de la réussite de la soirée à Charny. Ce n’était pas gagné parce que, à cette époque de l'année, c’est la reprise des bals country et il y en a un peu partout. Les associations amies ont répondu à nos invitations et nous avons la chance d’avoir Jean-Paul Dupuy comme DJ bénévole, ce qui est un plus. Nous avons une dizaine de clubs de la région qui comptent 120 personnes ".

Un programme chargé pour l’année 2016 est en vue et Karine détaille : « Nous allons organiser un événement  par trimestre, toujours avec Calamitry’s Blue et l’Escappad. Il sera animé par Nadine Anikine. Les plus importantes manifestations se feront aux mois de juillet, août et septembre, avec les dix ans de Calamitry’s Blue, les 17 et 18 septembre, probablement au parc du Nid à Mitry-Mory. Pour l’anniversaire de Calamitry’s Blue, ça se passera avec l’association Kdanses A2 dont je fais partie et là, je vais venir avec des amis et des voitures américaines. On espère avoir aussi des Harleys !"

Aujourd’hui en France, la country line dance se pratique énormément et connaît un engouement grandissant. Un peu partout des clubs fleurissent et s’ouvrent aux personnes voulant retrouver l’exotisme du far-west américain. "On se sent vraiment comme chez nous, ça nous donne le sentiment d'être plus naturel. Nous avons une passion pour l'Amérique ancienne et il y en a qui font ça en indien : ça s'appelle "l'indianisme". Il y a de petits événements et parfois de grands rassemblements avec cow-boys et indiens mélangés" explique Jean-Jacques, adepte de la tradition far-west. Habillés pour la plus part avec chapeaux aux larges bords, jeans et santiags, jupes ou robes pour les dames, débutants ou confirmés s’évadent un moment de la vie quotidienne. Edith, qui participait à la soirée de samedi, confie : « Ça fait passer un bon moment entre amis. La country, c’est à la portée de tout le monde. Il faut commencer pour apprécier et ne plus pouvoir s’en passer ».

L’Américain Robert Wanstreed a apporté la country en France. C’est lui qui a ouvert le premier club en région parisienne, Les Amis du far-west. Il est l’auteur de quelques chorégraphies, dont des grands classiques comme A Love Dance et Black Pony. Robert Wanstreed est décédé depuis plusieurs années mais sa mémoire perdure.

Prochain rendez-vous de country line dance, samedi 9 avril, salle Jean-Vilar à Mitry-Mory avec Calamitry's blue.

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50 jeunes Mitryens vont partir pour un séjour à Rio à l'occasion des jeux olympiques. L'USJM rassemble des fonds qui financeront le voyage. Dimanche 6 mars, s'est déroulée une journée solidaire...

La collecte de fonds pour le voyage des 50 jeunes à Rio a fédéré une douzaine de commerçants, artistes, créateurs, mécènes à la salle Jean-Vilar, dimanche. Toute la journée, les visiteurs ont pu apprécier les étalages où bijoux, tableaux, dessins, articles de décoration, fleurs, champagnes, se partageaient l’espace.
L’USJM (Union sportive de la jeunesse de Mitry), au centre de la salle, proposait des CD, DVD, jeux, livres, ainsi que du matériel hifi. Un stand restauration accueillait le public avec des boissons et des gâteaux confectionnés par les jeunes Mitryens concernés par l'aventure. « Nous n’avons pas encore la totalité de la somme requise pour finaliser le projet, mais c’est en bonne voie. Par des actions répétées comme celle-ci, nous espérons le réaliser » indique Lucien Zede, co-président de l’USJM.
Il manque encore 90 000 euros
En effet, si les associations USJM et Sport'A vie qui portent le projet avec la municipalité ont réussi à collecter 60 000 euros, le reste du budget qui s'élève au total à 150 000 euros doit être comblé. "Il nous manque encore 90 000 euros et nous partons dans quatre mois. La mairie nous déjà prêté la salle Jean-Vilar et a payé pour l'affrètement de bus" souligne Lucien qui s'active avec tous les autres bénévoles pour mener l'aventure à bien.
Les 13 - 15 ans sélectionnés
Parmi les quinze sections sportives de 3 000 adhérents que compte l'USJM, six d'entre elles, représentant 500 enfants, ont décidé d'envoyer cinquante de leurs jeunes adhérents : la natation, le handball, la lutte, la gymnastique sportive, la boxe Shaolin et le body moving. Les ados qui partiront pour Rio en août sont âgés de 13 à 15 ans et ont été sélectionnés dans chaque section, "non pas en fonction de leurs résultats sportifs mais plutôt de leur faible espoir d'assister un jour ne serait-ce qu'à un grand match en France" explique le co-président.
De 3 000 à 300 euros
A Mitry, l'avant Rio c'est aussi une grande préparation à la culture brésilienne et aux jeux olympiques. Les bénévoles ont créé des groupes d'apprentissage pour les enfants qui assistent à des cours d'initiation au Portugais "pour pouvoir se débrouiller une fois là-bas et communiquer avec les habitants", des cours sur la connaissance du pays "afin qu'ils sachent ce qu'ils veulent visiter", une information sur l'histoire des JO, des cours de capoeira, samba et percussions...
Les futurs voyageurs ont aussi commencé un film de 52 minutes dans lequel figureront leurs entraînements en vue du séjour, des interviews des ados, des parents, des entraîneurs... Le reste du film sera fait sur place et rendra compte du séjour. Le DVD sera vendu au retour.
"Le voyage pour une personne coûte 3 000 euros, transport, hébergement, entrée au stade et visites de musées compris. Nous ne demandons aux familles qu'une participation de 300 euros. La préparation a commencé en avril 2015 et les bénévoles se donnent à fond. Ça représente des mois de boulot" insiste Lucien.
L'appel aux dons
Dimanche, Céline, exposante créatrice de bijoux, s'avouait convaincue : « Nous sommes partenaires et mécènes du projet. Nos jeunes sportifs représentent l’avenir de notre ville. Ils sont encadrés par des bénévoles enthousiastes qu’il faut accompagner ».
Des artistes créateurs connus, comme Red Dito, peintre, Saturnin Gok Pon, dessinateur à l’atelier d’arts de Mitry, ont tenu leurs stands. Les exposants, pour qui l'emplacement dans la salle était gratuit, ont reversé 20 % de leur recette du jour à l'USJM, soit 750 euros.
Les associations continuent à récolter les dons et lancent un appel à la générosité.
Contact : Lucien Zede. Tél. 06 78 16 09 10.

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Compagnons : Le centre de formation des compagnons du tour de France a ouvert ses portes au public.

Les journées découverte se sont déroulées vendredi 29 et samedi 30 janvier. Michel Sénéchal, président de la fédération compagnonnique, a accueilli les invités par un discours tourné vers l’avenir et l’apprentissage. De nombreux jeunes gens sont venus accompagnés de leur famille pour découvrir les métiers proposés et ainsi réfléchir sur leur avenir professionnel. Le centre de formation de Saint-Thibault-des-Vignes enseigne les métiers du bâtiment. Jonathan, 16 ans, attiré par le métier de charpentier, confie : « J’aime le  bois, le travailler, le sculpter, son odeur. J’aimerais bien être accepté au centre pour apprendre le métier de menuisier charpentier. Et puis le bois, c’est tendance... »

Lors de la visite des ateliers, le public pu apprécier les divers métiers, mais aussi le matériel haut de gamme mis à la disposition des élèves. Sur 3 500 m2 d’ateliers fonctionnels, les stagiaires et apprentis peuvent évoluer dans un contexte très proche de celui de l’entreprise. 800 m2 de salles de cours « métiers » sont dédiées à l’enseignement technologique, à la lecture de plans et au dessin. Une salle informatique équipée de 30 ordinateurs aux logiciels performants avec accès Internet est à la disposition des stagiaires et des formateurs. Elle accueille également des formations spécifiques en informatique liées aux métiers du bâtiment. En annexe, les stagiaires ont à leur disposition également un centre de ressources avec une médiathèque d’ouvrages techniques spécialisés. Une exposition permanente de pièces et maquettes exceptionnelles réalisées par les étudiants et les compagnons permet de se donner une idée du travail accompli au fil des années. Maxime, 18, ans, apprenti maçon, déclare : « C’est une chance de pouvoir apprendre son métier dans un centre comme celui-ci. A la fin de mon apprentissage, avec la réputation de l’école, je pense pouvoir trouver un emploi très rapidement et mon but après mon master est de devenir maître d’ouvrage ».

Prochaines portes ouvertes les 1er et 2 avril au CFA compagnonnique.

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Les amateurs de nature ont participé à la première balade guidée qui avait lieu dimanche 31 janvier à Dammartin-en-Goële.

Malgré un temps incertain, voire pluvieux, une vingtaine de volontaires ont rallié le point de rendez-vous à 13 h 30 dans le parc de la Corbie. Les randonneurs guidés par Lucie Herriot, conseillère en biodiversité et sciences citoyennes auprès de l’association départementale de Seine-et-Marne environnement, ont pu aborder des thématiques liées à la faune, à la flore, à la biodiversité. La spécialiste a expliqué ce que sont les zones humides, leur intérêt, leurs richesses et les moyens à mettre en œuvre pour les préserver.

Sylvain Messian, délégué au développement durable, participant à la balade nature, explique : « Nous avons pu faire visiter au public le parc de la Corbie et faire découvrir la biodiversité autour de la mare et de la mare à salé*. Nous comptons renouveler l'opération qui a été pour tous une découverte ». Les enfants accompagnés de leurs parents ont apprécié également la sortie. Alexis, 10 ans, confie : « A l’école, on parle souvent de la biodiversité. Lors de la balade, la conseillère nous a appris à observer la faune et la flore et nous a démontré l’importance des zones humides. Je reviendrai l’année prochaine ».

La mare à salé est un lieu-dit dont le nom vient fort probablement d'une famille qui exploitait les terres dans le secteur. Aucun rapport avec le sel... L'endroit se trouve en contre-bas de la RN2 et de l'avenue du Maréchal Leclerc dans la même zone que le chemin des Petits Eboulis. L'accès à la mare a été dégagé récemment afin de permettre aux promeneurs de découvrir le site. Cependant, c'est sans doute parce que la voie n'était pas praticable et quasiment inconnue du public que la zone humide a été protégée.

Contact : Lucie Herriot – Tél.  01 64 37 19 00. E-mail : biodiversité-Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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Mademoiselle Île-de-France 2016 : Sélène Dolhem, Dammartinoise, n’en revient toujours pas d’avoir été élue au concours de beauté, samedi 23 janvier. C'est ici qu'elle vit, à Dammartin...

Sélène, à 17 ans, vient de remporter le concours tant convoité devant les vingt jeunes filles âgées de 16 à 18 ans sélectionnées pour la première étape régionale. Maintenant l’objectif à atteindre est la participation à l’élection de Mademoiselle France en avril prochain, en Bretagne.

« Le comité de Mademoiselle Île-de-France existe depuis 2012, via la structure Mademoiselle France qui a été créée en 2008-2009. Maintenant, il y a des délégués dans toutes les régions dont l'Ile-de-France. Le but final est que chaque région présente une candidate à la finale nationale à laquelle Sélène ira participer » a expliqué Elise Delattre-Lemont.

Sélène étudie le staff, un métier artistique qui la passionne, lui faisant réaliser des ornements en plâtre servant par exemple à la rénovation des monuments historiques. Rien à voir avec la mode...

Une année de séances photos et de défilés l’attend. Accompagnée d’Elise Delattre-Lemont présidente des comités Mademoiselle Île-de-France et de Mademoiselle Nord Pas-de-Calais 2016, Sélène Dolhem a répondu à quelques questions en exclusivité pour magjournal, samedi 30 janvier :

Comment vous est-il venu l’envie de vous lancer dans le concours Mademoiselle Ile-de-France ?

J’adore la mode depuis que je suis toute petite, j’ai toujours rêvé de faire des shootings  photos, des défilés.  Je me suis dit, "pourquoi ne pas se lancer ?"

Comment cela se passe-t-il ? Vous avez participé à des présélections ?

Oui, il y a déjà la présélection sur internet. Un casting est lancé, les filles envoient leurs photos : des portraits, des photos en pied et une présentation de la personne. Ensuite nous sommes présentées à un premier shooting photos de chacune d’entre nous. Notre personnalité compte aussi. Après cette sélection, il y a l’élection et là, nous passons devant un jury composé de neuf à onze personnes suivant les régions qui établissent un classement à chaque passage. Il y en a quatre, tous différents.

Après avoir remporté un concours de beauté comme celui-ci, cela peut ouvrir des portes ?

Nous espérons toutes faire un bout de chemin dans la photo, dans la mode, les défilés et ainsi développer nos connaissances, aussi participer à d’autres castings comme pour des clips vidéo ou le cinéma. Cela peut ouvrir beaucoup de portes effectivement.

Pouvez-vous nous décrire la période la plus difficile pour vous en tant que lauréate ?

Tout a été difficile. En arrivant, je n’avais aucune expérience. Par exemple je ne savais pas marcher avec des talons. J'ai aussi appris à me présenter au jury et surtout comment gérer le stress. C’était dur mais au final on prend plus de plaisir quand on est sur la scène. L’adrénaline prend le dessus.

Et au moment du verdict, quelle a été votre première pensée ?

Ma première pensée...  "Sérieux ?  J’ai réussi ?"

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Martine Florençon, le maire du village, entourée du conseil municipal, des employés communaux et des présidentes d’associations, a souhaité une bonne année aux habitants, vendredi 29 janvier, dans l’ancien préau devenu salle des fêtes.

L’élue a rappelé les travaux finalisés et les travaux à venir pour la nouvelle année. « Nous avons démarré  l’enfouissement des réseaux, le chantier sera terminé au printemps. Une borne pour recharger les véhicules électriques sera installée devant la mairie. Les travaux de l’église, qui ont été pris en charge par les assurances, sont en bonne voie. L’échafaudage a été démonté, il reste l’enduit de soubassement à réaliser. La construction d’un bâtiment de rangement derrière l’école est lancée et permettra d'entreposer tout ce qui appartient au comité des fêtes. En ce qui concerne les activités périscolaires, 51 enfants sont inscrits sur 57.  Ils participent à des activités d’éveil et de loisir une fois par semaine. Dans le cas de la mise aux normes pour handicapés, des devis ont été demandés pour les sanitaires de l’école ». Le maire a rappelé également les problèmes que rencontre l’intercommunalité.

Le deuxième problème majeur soulevé dans le village comme dans de nombreuses autres communes est la suppression d’une classe. « Des recours ont été envoyés à l’académie. La suppression d’une classe à Iverny signifierait la fermeture définitive de l’école dans deux ans. Nous allons nous battre pour éviter cela, les enfants d’Iverny doivent être scolarisés à Iverny » déclare Martine Florençon.

La cérémonie s’est poursuivie avec la présentation de la nouvelle directrice de l’école.

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