Près de 100 Charnicois ont bravé le mauvais temps, samedi 17 octobre, pour arriver à midi à la salle polyvalente.

Là, surprise pour tous ! Une haie de jolies filles et de beaux jeunes gens musclés en costume brésilien, sous un décor de palmiers, attendaient les convives pour le traditionnel repas des aînés mis en place par le CCAS (centre communal d’action sociale). Chaque année, un thème différent est proposé au public. Pour samedi, c’est la troupe « Couleur des tropiques » d’Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) qui a été choisie pour animer le repas.

Entre les plats, afin de permettre aux serveurs bénévoles (adjoints au maire, conseillers municipaux, membres du CCAS...) de faire leur travail, les danseurs brésiliens aux flamboyants costumes et aux coiffures piquées de longues plumes colorées venaient enchanter les participants de leurs danses et de leurs chansons traditionnelles. Entraînés par le rythme endiablé, et peut-être aussi un peu par le champagne [NDLA : l'abus d'alcool nuit à la santé], certains se sont mis à danser. A la nuit tombée, la fête s’est terminée au grand dam des fans, laissant aux serveurs une bonne vaisselle à faire : plus de 400 verres, assiettes et couverts… Cependant, « tout le monde est prêt à recommencer l’année prochaine ! Certains attendent avec impatience l’âge de pouvoir y participer… pour une fois que l’on a envie de vieillir ! » confie Louisette.

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La salle Elysée à Mitry-Mory était pleine, vendredi 16 octobre, pour le "banquet républicain". Tous étaient venus fêter les 90 ans d'une ville "de lutte, solidaire et fraternelle" comme le slogan affiché l'indiquait. Mines réjouies, humeur au beau fixe, 450 partisans et sympathisants ont partagé la soirée conduite par le conseiller municipal, Sylvain Bernard (section Mitry-Claye-Villeparisis du PCF).

Le maire depuis avril dernier, Charlotte Blandiot-Faride, s'est imposé dans la lignée de ses prédécesseurs à la tête de la ville qui compte 19 000 habitants. Avant elle, d'autres maires communistes ont administré la commune : André Carrez, Noël Fraboulet, Jean-Pierre Bontoux et Corinne Dupont qui a lui a cédé sa place en cours de mandat.

Les convives ont accueilli un invité de marque, Pierre Laurent, secrétaire national du Parti communiste français. Ce dernier a rappelé, lors de son allocution, "l'engagement de Mitry".

D'autres personnalités communistes locales ont participé à l'événement. Charlotte Blandiot-Faride, également conseillère à la Région, était entourée des membres du conseil municipal parmi lesquels figuraient Franck Sureau, Benoît Penez, Laure Greuzat (PS) et la première adjointe, Marianne Margaté, aussi conseillère départementale et binôme de Bernard Corneille (DVG), maire d'Othis.

Jeanine, militante et ancienne élue, est "fière", comme elle le déclare, de participer à la soirée : « Je vis à Mitry depuis 1967. J’ai été élue en 1989 comme conseillère et adjointe au service social puis au service logement. Je suis communiste depuis 1944. A la Libération, je suis entrée à la CGT et puis j’ai fait ma carrière dans différentes fédérations. Je suis fière que Mitry-Mory soit restée communiste. Il ne doit pas avoir beaucoup de communes qui fêtent leurs 90 ans comme nous... Oui, j’en suis fière ! ».

Vendredi, les associations caritatives étaient représentées par Les Femmes solidaires, Le temps des Cerises, Les Amis de l’Huma, France-Palestine et Le Secours Populaire.

Le grand buffet d'anniversaire était dressé de part et d’autre de la salle, et les dîneurs ont pu se restaurer avant de se concentrer sur les interventions politiques suivies de l’hymne communiste, L’Internationale, entonnée par la salle, le poing levé.

« Le Petit Orchestre de poche » avec Pierre-Jules Billon et Clément Robin, a donné le tempo tout au long de la soirée sur d'autres airs moins engagés.

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Il a soufflé comme un vent de folie sur le grand centre commercial Les Saisons de Meaux qui a ouvert, mardi 20 octobre. Le public a déferlé dès l'ouverture à 18 heures.

Les routes étaient bouchées et la circulation alentour plus que laborieuse tellement l'événement a attiré les curieux. L'heure correspondait aussi à la fin de la journée de travail. Gendarmes et policiers avaient établi un sens de circulation, et les automobilistes ont dû se frayer un chemin dans la cohue de voitures qui arrivaient de la RN3 ou de la rocade de Quincy-Voisins, ou encore de Meaux.

Les premiers visiteurs - une vingtaine de milliers - se sont littéralement rués sur les boutiques.
La première soirée laisse entrevoir un réel succès pour le centre commercial.

Ce jour-là, mardi, à 11 h 30, officiels, personnels et invités l'ont inauguré avant le grand rush.

Ainsi, plusieurs centaines de personnes ont répondu à l’invitation de la direction d’Immochan. Elus, fournisseurs, entrepreneurs, employés, médias ont pu découvrir en avant-première les 30 000 m2 de la galerie marchande et les 98 boutiques fraîchement ouvertes.

L'arbre à néons géant a été illuminé au centre de l’espace et a donné la touche finale futuriste. Les grandes enseignes comme Décathlon, Auchan, H&M, La Fnac, Histoire d’Or, Sergent Major, Orange, SFR, Bouygues Télécom... ont trouvé leur place. Victime de retards administratifs, Mac Donald ouvrira courant décembre et Leroy Merlin se fera attendre jusqu'au 17 février 2016.

Restauration, alimentation, équipement pour la maison, services, culture-loisirs, beauté-santé, habillement...  « C’est géant et il y en a pour toutes les bourses ! » laissait échapper Clotilde, une cliente pressée d'aller découvrir ses favoris et en premier lieu d'effeuiller les rayons chez H&M.

Hervé Darracq, le directeur du centre commercial, a annoncé : "Les Saisons feront gagner 1 000 euros par jour jusqu’au 31 octobre (sous forme de chèque de 10 €) avec des animations quotidiennes. Les clients auront également droit à des ateliers culinaires et cours de cuisine gratuits. Le centre commercial, ce sont aussi des services, un accueil attentionné, la presse en Wifi, un parking de 2 800 places..."

Les estimations de fréquentation ont fait monter les chiffres jusqu'à plus de 7 millions de visiteurs par an et le premier samedi des Saisons promet d'être la sortie d'un bon nombre d'habitants du secteur. En décembre, le site sera ouvert le dimanche.

Jean-François Copé, le maire de Meaux et président de la communauté d'agglomération du Pays de Meaux, lors de son allocution, a rappelé "l’intérêt d’un tel enjeu en terme d’emplois locaux. Par exemple, l’hypermarché Auchan a recruté 280 collaborateurs. 1 000 personnes seront employées en finalité sur le site".

Les Saisons de Meaux pourraient changer le visage commercial du centre-ville.
Justement, devant le grand centre commercial, mardi, la petite manifestation de quelques commerçants du centre-ville montrait les réticences de certains quant à l'arrivée du géant. Menée par Frank Rolland, du mouvement Europe écologie les verts (EELV), la "contre-inauguration" était loin de rassembler autant de partisans que l'inauguration elle-même. Les participants tentaient de faire entendre leur doléances tandis que passaient les automobilistes impassibles.

Du côté du quartier de Beauval, les consommateurs s'inquiétaient pour leurs "Halles d'Auchan", un supermarché "de proximité". Ils indiquent : "Nous avons joint à ce sujet la direction de la communication du groupe Auchan qui nous a confirmé que le magasin ne fermerait pas, même si la personne contactée ne nous a pas caché une baisse de fréquentation depuis deux ans. Celle-ci serait due à l’augmentation de la concurrence dans cette partie de la ville. En réaction, des efforts ont été faits sur la qualité pour attirer de nouveaux clients et par conséquent maintenir le magasin. Des employés des “Halles” ont choisi de rejoindre le nouvel hyper à Chauconin et il est envisagé pour l’an prochain de réduire la surface de vente du magasin qui pourrait, du coup, changer d’enseigne et adopter un autre des logos du groupe… Simply Market".

Mélanie, commerçante, commente : « Les Saisons, c'est un centre commercial dernier cri et il donne envie de le visiter. Les consommateurs apprécieront certainement le confort de ce genre d’établissement. Ça risque évidemment de nuire aux commerces du centre-ville ».

« Les Saisons de Meaux ne vont pas asphyxier les petits commerçants. Elles trouveront leur clientèle entre le Val d’Europe et Claye-Souilly. Ce dernier reste, c'est vrai, le principal concurrent avec ses 150 boutiques à moins de dix minutes de Chauconin. Il faut rivaliser d’ingéniosité pour attirer la clientèle, lui apporter du confort, un service de qualité et de l’animation tels que des concerts, de la danse, du théâtre, des ateliers pour les enfants le mercredi, et d’autres choses comme des démonstrations sportives à côté de chez Décathlon » assure la direction.

Le maire de Meaux certifie être "à l'écoute des commerçants de sa ville". Dans le cadre du plan "Meaux cœur de ville", la municipalité a mis en place un comité de pilotage avec des réunions par quinzaine et qui ont débuté le 12 octobre. Les élus soulignent : "Il faudra différencier le centre-ville, encourager les démarches nouvelles, rechercher des enseignes commerciales, optimiser le stationnement, développer l'identité propre du cœur de ville, renforcer la communication, multiplier les animations, attirer une nouvelle clientèle, veiller à la propreté des rues, à leur embellissement et à leur sécurité..."

 

 

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Le club de boules de Villeroy s’est mis au travail pour nettoyer la centaine de kilos de moules et de patates, en prévision de la soirée du samedi 17 octobre. Le traditionnel repas annuel a reçu plus de 80 convives venus déguster les mollusques de Gaëtan. Le gaillard est le spécialiste moules du club. « Nous avons commencé à 7 heures ce matin » signale-t-il,  accompagné d’une horde de bénévoles chargés d’alimenter les amateurs tout au long de la soirée. Une tombola avec comme premier prix un superbe panier garni et d’autres surprises ont agrémenté la fête. Une compagnie de bons vivants régnait dans la salle dont le parquet légendaire s’est prêté aux danseurs entraînés par le DJ de service, bénévole également. Daniel, président du club, confie : « Tous les ans nous organisons une soirée avec un thème différent, soit paëlla, moules-frites, couscous... Nous participons aussi à plusieurs concours régionaux et tous les ans nous donnons de l’argent pour le Téléthon. C’est un petit club très sympathique, qui marche bien, avec seulement 19 adhérents pour le moment, mais nous sommes ouvert à tous ».

Contact : les boulistes de Villeroy. Tél. 01 60 01 95 33.

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Les responsables des différents "collectifs citoyens" de Seine-et-Marne ont voulu réunir la presse, jeudi 6 août, à Jouarre. L'événement était des plus confidentiels et seulement quatre invétérés de "l'écologie citoyenne" ont reçu les médias, chez l'un d'eux, une maison particulière charmante mais qui manquait d'eau. Non pas que les traditionalistes environnementaux n'avaient pas l'eau courante mais ils ont manifestement oublié que par 30°, en plein après-midi et en plein soleil, les stylos et les appareils photos aussi se dessèchent... Pas une goutte d'eau à l'horizon pour venir réhydrater les gosiers. Et finalement, pas grand chose de nouveau non plus à l'horizon du pétrole de schiste. Le sujet était pour ainsi dire une tempête dans un verre d'eau... ironique paradoxe.

Bref, le sujet concernait une "rectification estivale" de la loi Jacob. D'après le collectif "citoyen" comme ses membres eux-mêmes le qualifient, un décret ouvrirait la voie à la réalisation de forages d’expérimentation pour évaluer les potentielles ressources en huile et pétrole de schiste, des forages qui pourraient se faire sans la consultation des associations.

Pas folle la guêpe gouvernementale qui, profitant de l'été et des vacances, jette discrètement à la poubelle l'alinéa 3 de l'article 2 inscrit au journal officiel le 13 juillet 2011 qu'elle cherchait de toute manière à éviter depuis l'apparition des batailles au sujet de l'exploitation du gaz et du pétrole de schiste.

Lors de la micro réunion, jeudi, la plus prolixe des quatre, Isabelle Levy, cofondatrice du collectif contre le pétrole de schiste en Pays fertois indiquait : « Aujourd’hui, nous apprenons que le Premier ministre, Manuel Valls, a demandé au conseil constitutionnel de modifier l’article en question, afin de rendre facultatif et non plus obligatoire la présence des associations permettant ainsi la création et le fonctionnement de cette commission sans une éventuelle participation et concertation des associations ».

Le collectif dénonce ainsi fermement la demande du gouvernement et affirme son désaccord face à la décision du conseil constitutionnel. La bande des quatre espère encore faire reculer le gouvernement et annuler la décision. Franck Rolland, co-fondateur de Stop Pétrole de Schiste 77, rappelle : « Nous appelons les citoyens, les associations, les partis politiques à se mobiliser contre cette décision. La Seine-et-Marne, est l’un des départements le plus concerné par le risque de développement de l'exploitation du pétrole de schiste ».

Jane Buisson, présidente de Nature Environnement 77, alerte : « Nous ne doutons pas, que la prochaine étape laissera la porte ouverte aux foreurs pour de nouvelles expérimentations et à terme la possibilité d’exploiter le pétrole de schiste ».

Pour connaître les avantages et les problèmes liés à l'exploitation du gaz ou du pétrole de schiste : cliquez ici

 

Concert symphonique par un orchestre slovaque : le rendez-vous est fixé vendredi 31 juillet à 20 h 30 en l'église Saint-Jean à Dammartin-en-Goële.

Les Amis de l’Orgue accueillent, pour la 4e année consécutive, un orchestre venu tout droit de la Slovaquie : l’orchestre à cordes Musica Iuvenalis, dirigé par Igor Dohovic. Créé par des membres de l’école de musique publique de la rue Sverdlovova en 1964, l’orchestre Musica Iuvenalis a reçu de nombreuses récompenses dans son pays et à l’étranger depuis sa création. Il a reçu le 1er prix du festival européen de jeunes de Neerpelt (Belgique) à plusieurs reprises, ainsi que le prix spécial du jury. L’orchestre s’est produit avec succès en Europe et en Asie. L’ensemble est également à l’origine ou principal organisateur de nombreuses manifestations, festivals et séries de concerts tel que le festival Eurochestries en Slovaquie.

Plus d’infos auprès de l’association au 06 81 48 24 55.

Voir une vidéo (par Peter Krokavec)

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Les enfants vont pouvoir lire pendant les vacances. "Lire en short" et surtout écrire ! Le service culturel de la ville a mis en place, vendredi 24 juillet, dans le parc de la Corbie, quatre ateliers d’écriture poétique animés par l’auteur Gilles Brulet pour les enfants de 6 à 11 ans. L'animation se déroule à l’initiative du ministère de la Culture. Le concept s'étend à toute la France.

A Dammartin, Chantal Chapon, responsable de la médiathèque et de l’action culturelle, explique : « C'est le premier festival de littérature pour la jeunesse. La manifestation a pour but de faire sortir les livres des bibliothèques dans les lieux où les enfants se rendent l’été accompagnés de leurs parents, comme les parcs, les centres de loisirs, les plages… Nous avons profité de l'initiative pour inviter l’auteur Gilles Brulet. Nous espérons que l’action sera renouvelée l’année prochaine ».

Le festival du livre pour la jeunesse a participé à la clôture de F’été Dammartin.

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L’avenue des Martyrs-de-Châteaubriant sera en chantier jusqu’au mois de septembre. Après la prolongation du mail (voie piétonnière et piste cyclable), les travaux se poursuivent côté parc des Douvres. Engins de chantier et ouvriers s’activent dans l’enfouissement des réseaux et des canalisations d’eau pour alimenter le quartier de la Villette-aux-Aulnes.

« Nous effectuons le renouvellement des canalisations d’eau potable, allant du réservoir au quartier de la Villette-aux-Aulnes. La première phase durera jusqu’au 30 août. Une deuxième phase de travaux est prévue en septembre, mais n’occasionnera aucune gêne à la circulation. Cela se passera à l’intérieur du réservoir du château d’eau. Nous posons actuellement des canalisations de 300 mm pour l’alimentation et de 200 mm pour le refoulement » explique le chef de chantier de la Société française de distribution d’eau.

L’enfouissement des réseaux, électricité, téléphonie, Internet, se poursuit également avec le raccordement des particuliers pendant les mois d’été.

Une nouvelle ligne de bus, Fileo, est en fonction depuis le 13 juillet dernier. Elle relie Saint-Pathus à la plateforme aéroportuaire Roissy-Charles de Gaulle et permet déjà à bon nombre d'habitants du secteur de se rendre plus facilement sur leur lieu de travail.

Le service est spécialement adapté aux territoires ruraux et dessert les communes de Saint-Mard, Marchémoret, Saint-Soupplets, Oissery et Saint-Pathus.

Jeudi 23 juillet, la municipalité de Saint-Soupplets a officialisé l’ouverture de la ligne en compagnie des partenaires de l’opération. Stéphane Devauchelle, le maire, qui représentait aussi la société Aéroports de Paris (ADP), a reçu Pierre Serne, vice-président du Conseil régional d’Ile-de-France chargé des transports et des mobilités, également vice-président du conseil du STIF, Jean-Jacques Barbaux, président du Conseil départemental de Seine-et-marne, Vincent Eblé, sénateur et conseiller départemental, Franck Goldnadel, directeur de l’aéroport Paris-Charles de Gaulle, Nathalie Simmenauer, directrice de l’environnement et du développement durable chez Air France, André Magnon-Pujo, directeur général de Kéolis Ile-de-France.

Créé et mis en place par le STIF en 1999, Filéo est un service de transport à la demande qui assure des liaisons entre certaines communes et le bassin d’emploi de la plateforme de Roissy CDG qui regroupe plus de 700 entreprises pour 86 000 emplois. Le transport se fait uniquement sur réservation.

75 % des salariés travaillent en décalé, et 43 % des entreprises fonctionnent 7 jours sur 7. Filéo prend le relais de certaines lignes régulières du secteur, quand celles-ci s’arrêtent de fonctionner. Afin d’assurer une desserte 24 h sur 24, Filéo compte neuf lignes en service, desservant 23 communes de Seine-Saint-Denis, du Val d’Oise et de Seine-et-Marne.

"Aujourd’hui, une dixième ligne est née. Elle permettra de desservir les communes de Saint-Pathus, Oissery, Forfry, Gesvres-le-Chapitre, Saint-Soupplets, Marchémoret, et Saint-Mard vers le pôle d’emploi de Roissy" souligne le maire de Saint-Pathus, Jean-Benoît Pinturier.

Nathalie Simmenauer indique : « Pour nos salariés, c’est effectivement leur proposer un service de transport à la demande qui permettra d’améliorer leur qualité de vie et aussi une nouvelle façon de ce déplacer, de mieux gérer leur temps avec moins de fatigue dans les transports. Nous cofinançons avec Aéroport de Paris et Kéolis cette nouvelle ligne. Air France est déjà partenaire financier sur trois lignes Filéo ».

Filéo - Saint-Pathus circulera de 17 h 45 à 8 h 45 et de 11 h 30 à 12 h 30, ce qui correspond aux horaires décalés de la plateforme aéroportuaire. Toutes les informations pratiques sur l’utilisation du service sur

Une première ligne Filéo, toujours organisée par le STIF, est déjà en place : Othis - Villeparisis » dessert les communes de Dammartin-en-Goële, le Mesnil-Amelot, Longperrier, Mitry-Mory, Othis, Villeparisis et Villeneuve-sous-Dammartin à destination de la plate-forme aéroportuaire de Roissy-Charles de Gaulle et des zones industrielles du Mesnil-Amelot. Elle fonctionne tous les jours, 24h/24, en complément des lignes n°23  «Villeparisis - Roissy» et n° 701 « Moussy-le-Neuf - Roissy », pour rejoindre l’aéroport Paris-Charles de Gaulle en continu.

Filéo - Saint-Pathus circulera de 17 h 45 à 8 h 45 et de 11 h 30 à 12 h 30, ce qui correspond aux horaires décalés de la plateforme aéroportuaire. Toutes les informations pratiques

L'application Smartphone filéo est toujours disponible sur Apple Store et Androïd.

Gratuite, elle permet de gérer les réservations et d'avoir toutes les informations sur les service Filéo.

Renseignements au 01 74 37 24 77.

Toutes les informations pratiques ici 

Des trajets à réserver  en ligne Munis de vos codes et identifiant, cliquez ici.

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Le trajet (effectué aussi le jour de l'inauguration)

le trajet

 

 

Dammartin va s'équiper de trente caméras comme prévu par la municipalité dans son programme. Avant la fin de l'année, les appareils seront placés dans toute la ville. C'est à ce prix que la municipalité espère ne pas voir s'amplifier la délinquance, selon elle déjà trop importante dans la commune et ses environs. Dammartin se range ainsi aux côtés d'autres communes du secteur déjà équipées et qui ont constaté une régression des chiffres de la délinquance. Bien qu'il soit admis par les élus que la vidéo protection ne fasse que repousser les délinquants vers d'autres communes qui, elles, ne sont pas pourvues de caméras, l'installation du dispositif décidé par les municipalités montre son efficacité pour la tranquillité des habitants.

A Dammartin, Véronique Havel, adjointe au maire, déléguée à la sécurité, à la prévention et à la tranquillité publique, est chargée du dossier et travaille en étroite collaboration avec les forces de l'ordre et la préfecture de police.

Quatre questions à l'élue 

 Véronique Havel

Véronique Havel

 Qu'est-ce qui justifie la vidéo protection à Dammartin ? 

Il y a une forte demande depuis plusieurs années, de la part des habitants et des commerçants. Nous sommes au milieu de deux départements criminogènes : la Seine-Saint-Denis (93) et le Val-d'Oise (95). Ces départements nous amènent de la délinquance qui génère dans le centre ville des trafics en tous genres et du vandalisme, particulièrement dans le centre ville. La sécurité est un des points forts de notre programme.

La vidéo protection va-t-elle vraiment permettre d'éloigner la délinquance ? 

C'est d'abord un moyen dissuasif. Cela permettra de surveiller différents points sur la ville où se rassemblent des groupes d'individus indésirables. Les caméras seront réparties dans toute la ville aux endroits stratégiques. Nous allons protéger les bâtiments communaux, les écoles, les services techniques de la mairie. C'est aussi un bon moyen pour aider la gendarmerie dans ses enquêtes, pour contrôler les entrées et les sorties de la ville et repérer des malfaiteurs qui pourraient avoir l'idée de venir faire un mauvais coup ici ou bien qui pourraient venir se réfugier chez nous après avoir commis leurs méfaits dans des communes voisines.

Combien ça va coûter ?  
Le projet est estimé à 490 000 euros. Cette somme est subventionnée entre 60 et 70 % par des organismes de l'Etat, la DER (dotation régional d'équipements) et par le FIPD ( Fonds interministériel de prévention de la délinquance).
Quand les caméras seront-elles mises en service ? 
Nous avons reçu le diagnostic de sécurité qui a été effectué par la gendarmerie. Elle nous a remis un rapport extrêmement pointu et précis sur les lieux d'installation des caméras. Nous avons lancé la demande des travaux. Le dispositif sera opérationnel au milieu du quatrième trimestre de cette année.
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