par C’était la première fois que la régie du Pays de Meaux, avec son nouveau directeur général, Laurent Lurton, présentait ses vœux, lundi 9 janvier. Jean-François Copé, président du Pays de Meaux, a rappelé les efforts entrepris pour rattraper les dérives financières passées.
La régie de Meaux a annoncé qu’elle devait « continuer à redresser la situation financière. Si « qualité du travail, rigueur et solidarité » sont les fils directeurs de l’association, les finances sont en voix de redressement et « ça va mieux » comme l’ont indiqué les responsables de la régie.
Jean-François Copé a souligné qu’il était « personnellement impliqué au redressement de la régie du Pays de Meaux » et a précisé : « Des dérives financières ont été constatées et je me suis directement impliqué pour rétablir les finances. J’ai demandé à Laurent Lurton une rigueur particulière sur la gestion, qui passe aussi par le conseil d’administration. Par la suite, nous aimerions pouvoir embaucher d’autres agents. La rigueur et la qualité du travail contribueront largement au redressement… L’humanisme et la solidarité sont des valeurs essentielles pour tous ». Répondant aux rumeurs, l’élu a assuré qu’il n’était « aucunement question de fermer la régie ». « J’envisage même de la développer aux communes environnantes » a insisté le président.
Philippe Davis, président de la régie récemment nommé, a rendu hommage à l’ensemble des agents qui, par leur travail, ont contribué à la qualité des services. Il a annoncé la préparation d’un festival de la cohésion sociale qui se déroulera le 28 juin : « Le festival réunira les associations à caractère humanitaire et social. On espère faire venir une vedette comme Grand Corps Malade. La régie coordonnera l’ensemble de la manifestation dans le cadre de la politique de la ville, de la lutte contre l’illettrisme et le développement du sens civique. Le lieu n’est pas encore fixé mais nous travaillons dès maintenant à l’organisation de la journée ».
Lundi, trois agents de la régie ont été mis à l’honneur. Deux d’entre eux sont les plus anciennes salariées de l’association.
